Chapitre 34

701 24 42
                                    

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.


Musique instrumentale disponible ! 


Honnêtement, j'étais encore sous le choc. 

J'ai besoin que ces vacances passent vite pour que je puisse retourner étudier mon jeu. Ça fait tellement longtemps que je n'ai pas taper sur un bon clavier, et rouler mon index sur une roulette de souris. J'ai mis ça de côté pour Locklear, et pendant que je suis en train de me morfondre sur le lit, il est en train de blablater avec les autres en bas. 

Il n'a même pas pris le temps de venir me voir, ni de me comprendre ! Ni même de reconnaître ce que j'ai fait pour lui pendant tout ce temps. 

Le fait d'y penser me mettra plus en rogne qu'autre chose. Je tente de me distraire pour finalement m'endormir. Cependant, au moment où je suis prête à m'endormir, un visage se penche au-dessus du mien. Son sourire vient m'aveugler, et ses lèvres viennent toucher les miennes. 

Je me retourne, le repoussant.


Locklear : MAIS BÉBÉ ! OH ! 


J'essaie de ne pas rire alors qu'il crie comme un mongole. Orh ! Je n'arrive pas à lui en vouloir trop longtemps.


Moi : Bye bye ! 

Locklear : QU'EST-CE QUE JE T'AI FAIT ! OH ! 


Je bouche mes oreilles. 


Locklear : MAIS... MAIS ?


Il embrasse ma joue et s'allonge à côté de moi. 


Locklear : T'as besoin de mes câlins d'amour ? Hein ? Je sais que c'est ça.

Moi : Même pas. Je dormais là.

Locklear : Ne crois pas que je t'ai oublié, on essayait de trouver un arrangement pour qu'ils partent le plus tôt possible, je sais pourquoi je t'ai amené ici à la base... je... je voulais profiter de l'instant avec toi, et comme tu m'as demandé de me réconcilier avec Gabriel, je pensais que c'était le bon moyen de le ramener ici. Je ne peux pas trop voyager à cause de ma jambe, donc je me suis dis, pourquoi ne pas prendre tout le monde dans le même bateau. 


Je me sens bête. Toutes ces heures je n'ai fait que médire, et l'insulter d'avoir fait ça... mais il l'avait fait pour moi... pour moi ? Quelle conne. Je me retourne et passe ma main sur sa nuque.


Moi : Je suis désolée, Lock, vraiment...

Locklear : Je sais ce que tu pensais, et je ne t'en veux pas, j'aurais pensé pareil. 

LOCKLEAR : C'est toi que je veux (Tome 1) RÉÉCRITUREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant