Thralldom (Francais)

Chapitre 13

Nous entrons dans le condo et nous nous séparons immédiatement, afin que nous puissions nous préparer pour notre dernier tournage de bondage du week-end. Je ramasse la lingerie que j'ai l'intention de porter et me dirige vers la chambre d'amis. De cette façon, Jackie et moi pouvons changer et coordonner pour la prochaine série. Quand j'arrive, Jackie a ses options disposées sur le lit, afin que nous puissions comparer nos choix. On finit par s'installer sur un corset corail avec de la dentelle noire pour moi et un bleu similaire pour Jackie. Elle a l'air si belle en bleu, la couleur fait vraiment briller ses yeux céruléens. On opte pour des talons hauts en cuir verni noir avec des lanières et des bas assortis pour compléter le look.

Une fois que nous sommes tous ensemble et habillés d'une somptueuse lingerie, nous retrouvons Ethan de retour dans le salon. Il est presque là, ayant plusieurs lumières et trépieds déjà en place. Malheureusement, Ethan n'a pas de pouf assez grand pour que nous puissions nous asseoir tous les deux, alors nous allons faire celui-ci par terre devant le canapé. Il a déjà déplacé la table basse à l'écart. Nous revoyons le plan une fois de plus, Ethan jouant le rôle de réalisateur hors pair. Enfin, il est temps de rouler.

Ethan fait asseoir Jackie et moi dos à dos, les jambes croisées sur le tapis. Il continue à nous demander de tenir nos bras en l'air alors qu'il nous lie ensemble au niveau de la poitrine. C'est un peu comme un harnais de poitrine, mais ça nous entoure tous les deux, donc c'est un peu plus compliqué. Ensuite, il nous lie les bras avec une corde à nos côtés. Il utilise ensuite plus de corde pour attacher nos chevilles au harnais de poitrine de chaque côté. Cela a l'air bien sinon un peu plus qu'un compromis.

Maintenant qu'il a toute la corde scrupuleusement en place, il est temps pour les gags. Vous ne pouvez pas avoir une situation de bondage réaliste sans gags. Ethan va doucement avec nous, choisissant un emballage buccal et du ruban adhésif noir. Il travaille d'abord sur le bâillon de Jackie puis sur le mien. Quand je n'incline pas assez la tête en arrière, Ethan me pousse doucement avec sa voix, "Em". Je penche ma tête complètement en arrière jusqu'à ce que la mienne et les têtes de Jackie soient bien serrées l'une contre l'autre et que mes cheveux retombent de mon visage. Maintenant, il est capable d'appliquer le ruban adhésif librement, sans se faire attraper les cheveux. Je suis presque sûr de l'entendre marmonner, "bonne fille" avant de prendre du recul et de vérifier son travail.

Ethan fait démarrer toutes les caméras et Jackie et moi nous débattons, poussant des gémissements étouffés. Nous prétendons être irrités par la situation et tenter en vain de nous éloigner les uns des autres. Ethan se déplace dans la pièce avec la caméra, essayant de capturer différents angles. Il ne nous tient pas attachés trop longtemps. Nous sommes libérés de notre situation difficile, après environ cinq minutes de lutte vigoureuse et de bave.

Jackie et moi nous étirons et retirons la quantité superflue de ruban adhésif de nos visages, suivi d'un emballage buccal trempé. Nous avons rassemblé toute la corde nécessaire avant qu'Ethan ait la chance de télécharger tout le contenu sur son ordinateur. Nous laissons le reste du matériel à Ethan pour le nettoyer. Jackie et moi nous retirons dans les chambres séparées pour faire nos valises et nous remettre dans nos vêtements de ville. Quand nous avons tous fini, nous retrouvons Ethan dans le salon. Il travaille maintenant sur la collecte des lumières, des trépieds et des appareils photo.

Ethan fait une pause pour que nous puissions dire au revoir à Jackie. Il est temps pour elle de retourner à Jacksonville et à son mari.

«Au revoir» dis-je penaud en serrant fermement Jackie dans mes bras. "vous devrez revenir bientôt."

"Bye, Lovely" répond-elle en me serrant en arrière avec un zèle égal.

Je libère Jackie, pour qu'Ethan puisse lui aussi faire un câlin. Il enroule ses bras autour de sa taille et l'embrasse brièvement sur les lèvres, avant d'entrer pour une étreinte d'ours en plénière. Il la tient pendant ce qui semble être un moment, avant de la lâcher et de l'embrasser passionnément sur la joue. Je rougis en voyant leur échange. «Je vous en prie, revenez nous voir bientôt», la supplie Ethan.