Chapitre XIII

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J'observais les objets un à un en restant bouche bée. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle en amène autant.
Héloise sourit face à ma réaction et me dit :

- Pose ta joue contre le sol.

Je fis ce qu'elle me dit et elle essuya sans gène la semelle de ses chaussures sur mes cheveux. Elle ajouta :

- Tu fais un merveilleux paillasson ! Bien, allons manger.

Elle m'enleva le scotch de la bouche puis les chaussettes ainsi que sa paire de ballerines. Je l'a suivi jusqu'à la cuisine et elle me mit une gamelle pour chien posé par terre près de la table.

- J'ajoute une nouvelle règle : Quand tu auras été désobéissant, tu mangeras de la pâtée pour chien, c'est clair ?

Je l'a regardais l'air surpris en hochant lentement la tête.

- Oui... Dis-je faiblement.

Elle me gifla de son pied.

- Oui qui abruti ?!

- Oui Maîtresse.

Héloise me fit à manger et elle me mit de la purée dans ma gamelle.

- Régale toi ! Oh, et tu manges sans les mains.

Je me mis à manger dans ma gamelle en m'en mettant partout autour de la bouche. J'étais vraiment réduis en esclave mais cela me plaisait et je sais qu'Héloise y prenait un plaisir malin de me voir à ses pieds. Elle se déchaussa, laissant apparaître ses magnifiques petits pieds et elle me les mis sur mes cheveux.

- Tu fais un agréable repose-pieds tu sais !

J'avais la tête à moitié dans la gamelle mais je ne bronchai pas, restant dans cette position très désagréable pendant plusieurs minutes jusqu'à ce qu'elle finisse son plat. Quand elle se releva, elle me mit une légère pression et ma tête se cogna contre le fond de la gamelle.

- Aïe ! Putain...

- Pardon ?!

Elle me plaqua une nouvelle fois ses pieds sur ma tête mais cette fois-ci elle appuya plus fort, m'écrasant la tête contre la gamelle.

- E-excusez moi Maîtresse.

- Il va falloir t'apprendre les bonnes manières, excuse toi mieux que ça !
Dit-elle en m'écrasant encore plus.

- Pardonnez-moi grande Déesse ! Je ne recommencerai plus !

Héloise enleva ses pieds toute souriante.

- Voilààà, tu vois quand tu veux !
Dit-elle en me caressant la tête.

- Aller c'est bon, monte dans ma chambre et attends moi à quatre pattes en tirant la langue comme un toutou !

J'obéis et monte difficilement les marches d'escalier en mode "chien". J'arrive au seuil de sa porte et l'ouvre puis l'attend comme demandé. C'était vraiment humiliant d'attendre dans cette position. J'entendis des pas monter et elle ouvrit la porte avec en main : une laisse, un collier, des menottes et des cordes puis un fouet et le meilleur pour la fin : une cage de chasteté. Je compris alors ce qui m'attendais...

SUITE ?

Soumis à une amie [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant