Chapitre XVII

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Pendant tout le trajet, on parla de tout et de rien puis on y arriva. On se diriga vers notre salle de cours et on s'installa au fond, côte à côte.
Le cours commença et le professeur lança un film dans le noir. Héloise rapprocha son pied de ma jambe et elle le frotta doucement. Cela m'excitait beaucoup et ça se ressentait au niveau de mon entrejambe. Puisque je n'avais pas de boxer, mon érection était bien voyante. Héloise rit doucement et elle déboutonna mon pantalon puis passa sa main toute froide sur mon sexe tout dur et chaud.

- J'ai froid soumis, me chuchotait-elle dans l'oreille. Alors je me permets de me réchauffer, finit-elle par dire en pressant de sa main, mon membre.

Je me retenais de gémir et regardais autour de moi pour voir si personne nous observait, apparemment non.

- Tu apprécies ? Demanda-t-elle en pressant encore plus et en plantant ses ongles dans mon gland.

Je grimace en serrant les dents et sortis un petit "oui" et essayais de me concentrer sur le film mais elle continuait de le compresser et cela me faisait mal. Au bout d'un moment, je lâchai une petite giclée de sperme sur sa main et sur mon pantalon.

- Ohh mince, le petit cochon s'est éjaculé dessus et a tâché son pantalon.

Elle retira sa main et me fourra ses doigts dans la bouche.

- Suce-les petites chiennes.

Je me mis à les sucer, avec le goût de mon propre sperme dont je commençais à m'y habituer et elle les enleva car le film venait de finir. Tout le monde se leva et moi je restais là, à attendre qu'ils sortent tous.

- Bah alors, on ne se lève pas ? Demanda la professeure.

- Heu... je... si-si bien-sûr !

Je plaçai mon sac devant moi afin de cacher mon érection et Héloise m'attendait derrière la porte en pouffant de rire.

- Alors ? on a honte petit esclave ?

Elle me fit signe de la suivre puis on mangea à la cantine. Je regardais mes amis de loin et me demandais ce qu'ils devaient penser de pourquoi je traînais tout le temps avec cette fille. Une fois fini, Héloise partit aux toilettes et me dit de la suivre. Elle ouvrit une cabine et me fit violemment entrer dedans en me plaquant contre le mur.

- Esclave, j'ai une terrible envie, ça fait plus d'une semaine que je ne me suis pas touché alors viens me faire languir.

Je me mis à genoux devant elle, qui s'assit sur la cuvette et elle enlève sa culotte et me l'a met devant le nez.

- Sens mon effluve soumis.

Je la sens et ceci me fit bander bien raide.

- Aller, viens lécher ta Maîtresse, elle n'attend que ça...

Je m'approche de son entrejambe et fis de petites léchouilles afin de faire durer le plaisir en prenant bien soin de lécher autour. Elle me pris la tête et me colla son sexe tout humide et chaud.

- Vas-y direct ! J'ai pas envie d'attendre.

Je me mis à lécher plus vite et elle poussa des gémissements de plaisir. J'avais peur que quelqu'un nous entende.

- Rentre ta langue en moi !! S'exclama-t-elle avec indignation.

Je fis ce qu'elle me demanda et elle se courba puis écarta ses jambes en appuyant bien sur ma tête afin que ma langue s'enfonce au maximum.

- Hann putain c'est trop bonn !

Je fis des vas et viens avec en augmentant le rythme et elle me tira les cheveux en mettant sa tête en arrière et en fermant les yeux. Je continuais mes mouvements de plus en plus vite, jusqu'à aller au maximum et je réussis à la faire mouiller puis elle eut un orgasme et poussa un grand gémissement.

- Ouuh... C'était... tellement... bon... Dit-elle essoufflée. Maintenant nettoie moi sale chien, c'est à cause de toi que je suis dans cet état !

Je m'approchai donc une nouvelle fois de son minou et lécha la cyprine qui y était restée.

- Avale.

J'avalai ma salive en plissant des yeux puis finissais de nettoyer.
Après ce moment de détente pour Héloise, on sortit de la cabine et allâmes au gymnase. On finissait par musculation. On fit deux heures de sport et une fois terminé, Héloise se changea mais elle n'avait pas changé de chaussures ni de chaussettes. Elle sortit des vestiaires et me regarda avec un sourire coquin.

- Tu vas être gâté mon chou, j'ai l'impression que c'est une fournaise là dedans ! Dit-elle en regardant ses Vans beiges.

Elle me prit la main et nous rentrâmes à la maison puis je pensais à ma prochaine mission qui allait m'attendre...

Soumis à une amie [TERMINÉE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant