Fred et George

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Alors que je traîne mon corps dans la boue, le jour ne s'est pas encore lever sur le pays Anglais. Comme tous les matins depuis maintenant 6 ans, nous avions l'habitude de pratiquer du sport intensif pour les duel. On remonte à la douche, l'eau chaude sur mon corps me fait énormément de bien. Alors que je rejoints Viktor pour aller à la salle commune, je croise Angelina qui me fait un grand sourire. Je m'excuse auprès de mon ami pour aller rejoindre la Gryffondor. Elle m'emmène à sa table, il y avait déjà les deux garçons roux d'hier ainsi que celui qui m'a percuté.

-Bonjour, dit Angelina joyeusement.
-Bonjour, dit en chœur les jumeaux.
-Salut Ange, dit Lee.

Alors que je m'installe tranquillement à côté de ma nouvelle amie, les deux garçons roux me fixe un peu trop.

-Bonjour ? Dis-je.

L'un d'eux se marre, je fronce les sourcils sans comprendre. Ils se regardent et se font vite disputer par Angelina qui n'avais pas l'air d'avoir un caractère facile.

-Moi c'est Fred, dit l'un des roux.
-Et moi George, dit l'autre.
-Ne te laisse pas avoir c'est l'inverse.

Je tourne la tête, vers une autre tête rousse qui s'est installé à côté de moi. Elle me sourit après avoir fait une grimace aux jumeaux. Elle a les mêmes cheveux et les mêmes taches de rousseur qu'eux.

-Ginny Weasley, la petite sœur de ses deux grands débiles.
-Enchantée, Rose Hjolna. Vous êtes beaucoup de Weasley ?
-Oh si tu savais, j'ai 6 grands frère je suis la seule fille et la dernière.
-Ah oui quand même.

Je regarde les jumeaux qui essayent de faire taire leurs petite sœur. Je souris un peu et me serre le petit déjeuner. Je fais la connaissance de plein de monde, un peu trop même pour me souvenir de tout le monde, mais en fin de compte Viktor avait raison, il y a bel et bien Harry Potter ici. Fred et George sont de véritable farceur, je passe mon petit déjeuner à rigoler, ça ne m'est quasi jamais arriver depuis que je suis à Durmstrang.

-Dit moi Rose, qui est tu ? Demande l'un des roux.
-Euuuuh, comment ça ?
-D'où viens-tu, comment tu peux te présenter ? Dit le deuxième roux.
-Oh euh, ma mère vient des pays de l'Est et mon père est français. J'ai grandi en Island avant de partir à Durmstrang.
-Et comment tu parles aussi bien Anglais ? M'interroge Lee.
-Oh euh, on a une règle chez moi. Avec ma mère je parle Bulgare, avec mon père Français et aux deux en même temps Anglais et en dehors on parle Islandais ou la langue du pays.
-Formidable...
-.... Impressionnant.

Je fronce les sourcils alors que les deux roux sont penchés vers moi admiratif de ce qui se passe. Je me concentre sur mon assiette et partage la conversation avec Angelina tandis que Lee, Fred et George font les pitres. A un moment je relève la tête quand Fred échange un coup de coude à George l'air quasi impressionné sur le visage. Je fronce les sourcils et je me retourne sur la tête sévère de Viktor qui attends.

-Tu viens ? Les cours vont commencer, me dit-il.
-Oui mais que si tu retires ta tête de méchant pas beau.
-Aller microbe.
-Hey !

Je retrousse le nez en une grimace et je me retourne vers les autres complètement déboussolé par la langue Bulgare.

-Je vous laisse je dois aller en cours, à ce midi ?
-Avec plaisir, dit Fred avec un clin d'œil.
-Dégoûtant, dit Viktor en Bulgare histoire que personne ne comprenne.

Je soupire et lui met une tape sur l'épaule avant de m'appuyer contre lui pour me lever du banc. Je marche à ses côtés dans les couloirs en pierre. Il ne dit rien, ce qui me paraît étrange de sa part, je tourne un peu la tête vers lui, il regarde au loin, tout le monde se pousse à notre arriver. Je me redresse et me tient droite à ses côtés, il avance droit devant lui. Une fois arriver devant la salle de classe Igor m'envoie dans une classe de Gryffondor adapté à mon niveau histoire de ne pas être perdu avec deux niveaux au-dessus. Je vais donc à la serre, là où on m'a dit d'aller, alors que je frappe à la porte, un bras passe au-dessus de ma tête. Je relève la tête pour trouver la tête de ce corps, je tombe sur un sourire blanc, des taches de rousseur et des cheveux roux. Je retire la main de la porte un peu timide de la situation. Il ouvre la porte et entre.

Jusqu'à l'aubeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant