Chapitre 2: the day I met him

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Pdv Eren:
Aujourd'hui on est mercredi, et le prof d'athlétisme est malade. J'ai décidé de passer mon après-midi à la bibliothèque pour préparer mon devoir de français. Je suis une grosse brèle, alors la bibliothécaire a pris l'habitude de me voir pour des questions futiles. J'aurais pu demander à Armin allez-vous me dire; il ne veut plus travailler avec moi en dehors des cours, je suis un peux trop con a son goût.
DONC, je me dirige vers la responsable du bâtiment. Malheureusement pour moi elle est en train de parler avec un jeune homme. Il a de court cheveux noir jais, il est petit de taille mais son aura me fis frissonné. Je suis resté à l'écart pour ne pas les déranger mais j'entendais quand même leur conversation:

« ...Je ne veux pas t'éjecter mais tu ne pourras plus passer t'a nuit ici. Je ne sais pas pourquoi tu fais ça mais les toilettes ne sont pas des dortoirs publics.
-Pardonnez-moi madame, je ne le referai plus.
-Je sais Livai, mais tu dois comprendre que tu ne peux pas passer t'a vie dans la bibliothèque. Tu es là depuis hier après-midi et tu n'es même pas sorti une seul fois, tu as mangé au moins ?
-Non, je n'avais pas très faim de toute façon.
-Livai.... Je voudrais que tu prennes soin de toi un petit peu, mais je ne suis pas t'a mère. D'ailleurs, j'ai l'impression que tu ne vas pas en cours ?
- Lire des livres me suffit amplement, je suis même en avance sur le programme de base.
- J'espère que tu dit vrai, en tout cas...
...Eren! »

Elle venait de me remarquer. Suite à cela, le dite Livai se retourna. Il a de beau yeux gris, vide de quelconque sentiment. Il a un tains très pâles et très grosse cernes comme s'il n'avait pas dormis depuis plusieurs mois. Quant à son visage, il ne montre aucune émotion non plus; mais s'est fine lèvre on l'air de dire quelque chose, malgré tout mes efforts, les déchiffrer est impossible. En regardant plus bas, je remarque des habits plutôt simple, un pull long, un jean noir trouait et une paire de basket.

« Eren, je te présente Livai, un habitué de la bibliothèque. Livai, je te présente Eren, un lycéens qui vient souvent faire ses devoirs ici.
-Bonjour ! Répondis-je.
-Salut... Répondit-il en retour.
- Tu voulais me demander quelque chose Eren?
- Oui, j'ai un problème avec mon devoir de français.
- Oh! Désolé mais je dois aller faire quelques trucs. Livai, si tu n'a rien à faire, tu pourrais aider Eren s'il te plaît.
- D'accord.
-Euh merci. Répondis-je »

La bibliothécaires parti dans son coin et je me rendis à ma table suivie par Livai.
Quand on fût devant mon cahier, Livai lu attentivement l'énoncé de mon exercice.

« Peux tu me dire se que tu n'as pas compris s'il te plaît ? »

Je ne m'en étais pas rendu compte mais sa voix est magnifique, douce et froide en même temps, comme si on te chuchotait à l'oreille mais que tu es à 5m de la personne, comme une barrière infranchissable.

« En faite, j'ai rien compris »

Je le vois faire un petit « tch » avant qu'il ne s'assaille. Il me dit de faire de même.

« Donc reprenons depuis le début [...] »

Je ne l'écoute plus, je regarde juste sa bouche bouger au fur et à mesure qu'il parle. Son regard posé sur mon cahier ne le fit pas remarqué le miens. Au bout d'un certain temps, il se tourne vers moi et me regarde dans le blanc des yeux en me demandant si j'ai compris. Je détourne mon regard car ma tête devient rouge, je commence à avoir chaud. Il me repose sa question mais je me suis levé et ai décrété une envie préssente, je me suis dirigé vers les toilettes presque en courant.
Je me suis arrêté devant le miroir et je me suis regardé. J'étais rouge comme une tomate !
Je remis ça sur le compte de mon incapacité à comprendre un simple exercice et sur la gêne de devoir se faire expliquer par un inconnu. Je rince mon visage avant de retourner à la table sur laquelle m'attend le froid jeune homme.

« E-excuse moi p-pour ça ( je suis étonné, je ne bégaye jamais d'habitude).
- C'est normal t'inquiète, j'ai fait ça pendant que tu étais au toilette »

Il me montre une feuille sur laquelle est écrit un schéma. Son écriture est aussi magnifique que ses yeux. MAIS QU'EST-CE QUE JE DIT MOI ! Ressaisis-toi Eren !
Je le vis porté son regard sur la chaise, je ne me suis pas encore assis. C'est ce que je fis donc, sous le regard pesant du garçon.
Une fois bien installé, il m'explique son schéma, j'ai tout compris pour une fois. Ses explications son clair et net mais à la fois très complète et compréhensible.

« Il pourrais devenir prof, pensais-je »

« Je ne pense pas que le métier de prof me convienne. »

J'avais pensé à voix haute ! Le pire est qu'il me répond normalement.

« Tu devrais voir t'a tête ! Elle est hilarante ! »

Je le regarde. Enfin ! Il montre une émotion ! J'ai remarqué le début d'un tout petit sourire sur le bort de ses lèvres ! Je ne pensais pas être un jour heureux quand un inconnu sourit mais là, je me sens fière d'avoir fait apparaître une émotion sur son visage d'habitude si froid. Je me mis à sourire, un sourire de vainqueur.

« Qu'est-ce qui te prend à sourire ?
- Je sais pas, en tout cas, merci à toi j'ai tout compris !
- Content pour toi alors, j'y vais, je dois emprunter un livre.
-D'accord. »

Je le vis se lever et quitter l'espace des tables pour aller dans les rayons des romans pour adultes. Je me remis sur mon devoir et fini se que l'on avait commencé ensemble. Je regrette déjà de ne pas lui avoir demander son numéro.

Ellipse de 15min

Je commence à ranger mes affaires quand je le vois quitter l'établissement. Il était encore là !
Je tasse tout dans mon sac et je me mis à courir à sa rencontre.

« Livai attend ! (Ils se retourne)
- Qu'y a t'il ?
- J-je...
- Dit, je vais pas te manger.
- Est-ce que tu veux bien passer le reste de l'après-midi avec moi? »

Je vis un brain d'étonnement dans ses yeux, suivit de nouveau par le vide.

« Je n'ai rien à faire aujourd'hui, en plus, je ne veux pas rentrer chez moi. Alors pourquoi pas?
- Ah merci! J'aime pas me prendre de vent.
-C'est vrai que tu as une tête à te prendre des vent.
- Mais c'est pas gentil ça !
-Je te suis mais là on vas où Eren? »

C'est vrai que depuis tout à l'heure on marche vers je ne sais où.

« Si ça te dit, on peut aller dans un café pas loin, il est calme et assez bon »

C'est sur un hochement positif du noir qu'on se rendit donc au café.
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Voilà, c'est tout pour ce chapitre, j'espère que l'arrivée de livai a fait l'effet escompté.
Encore merci à ceux qui lisent.

Vie parallèle [ereri]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant