Chapitre 26

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                                                   PDV Killua :

Je ne comprend pas.

Pourquoi ai-je fais ça ?

Pourquoi suis-je comme ça ?

Je ne sais pas. Je n'ai pas de réponses.


Cette nuit là, je n'ai que de courts souvenirs aléatoire. Le mal que j'ai fait à Gon n'était pas intentionnel. Je ne contrôlais plus mon corps, j'étais comme en transe. Quelqu'un devait me contrôler, j'en suis sur ! mais QUI ?

Je passa mes journées cloîtrais dans cette chambre, ne sortant que pour chercher de quoi satisfaire mon estomac. Je voulais, je voulais trouvé la personne qui m'avait manipulé. A cause de cette personne, ma vie n'avait plus aucun sens.

Pourquoi suis-je encore vie ? Qu'es ce qui me retient de sauter ?

L'envie de démolir la source de mes malheurs. La réduire en charpie, l'abattre, l'anéantir, la délabrer, la torpiller, la démonter, la disloquer... je veux voir dans ses yeux la peur et l'allégation qu'elle me dois.  

Puis les semaines et les mois passèrent ainsi pour moi, avec cette idée en tête. L'anniversaire de Gon passa. Je passa ma journée à lui souhaiter sa fête dans ma tête.

Je devenais fou. Je ne penser plus clairement, je disparaissais à vue d'œil.

Par la suite, mon envie de la démolir fût remplacer le 4ème mois depuis notre rupture, par l'envie de revoir Gon. Il me manquait trop. Son rire, le son de sa voix, sa chaleur. Cette affection que je lui porte, ne peut être correctement donner.

Autre fois, je donnais cette amour à Gon, cela m'empêcher de succomber à toutes ses émotions. Maintenant je suis seule. Seule sous le poids de l'amour. Cette amour qui ne cesse de grandir envers Gon. Cette amour qui grandit et qui m'étouffe. Gon n'est plus là pour prendre cette amour, il me laisse m'étouffer en dessous.

Je ne vois plus de sens à la vie. A quoi bon regarder le printemps s'épanouir dans toute sa splendeur si on est seule.

Le soleil pers tout de sa lumière, sans ses raillons de soleil.

Je me lâche. Je saute. Je rejoins cette douce noirceur. Je m'y plonge.

Je vois une lumière. Dans ce bien-être, je me sens à l'aise. Les portes du Paradis ne sont plus loin.



















...















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Les portes du Paradis ne sont plus loin. Mais je me ressens une gêne. Quelqu'un m'observe.

Dans cette impressionnante lumière, une tâche noir apparait. Une tâche noir très familière.

Illumi.

Ma Lumière, Mon Amour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant