Chapitre 35

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PDV Gon :

G : Alluka ! Dis-moi, tu as toujours le pouvoir d'accomplir une requête ? N'importe laquelle ?

A : Oui...?

G : Ton frère a besoin de ton aide !

A : Quelque chose ne va pas n'est-ce pas ?

Sur son jeune visage, on pouvait lire son anxiété. Elle avait peur pour son frère, peur de ce qui a pu lui arriver.

G : Suivez-moi.

Nous marchâmes à grand jusqu'à retrouver le lieux de la mort de Killua. Comme je lui avait demandé, Kurapika est là avec Illumi. Alluka poussa un cri et s'effondra sur le sol, sous le choque en voyant le cadavre de Killua.

A : Mon frère... Qui... Qui t'as fais ça ?

K(urapika) : Illumi.

A : Toi. Illumi. Pourquoi ?! NON. Ne me dis rien. Je ne veux pas entendre un mot sortir de ton horrible bouche. Tu es un monstre cruel et sans pitié. Tu ne peux être humain. Tu ne connais pas l'amour.

Gon. Maintenant je sais pourquoi tu avais besoin de moi. Enfin de ma sœur, je vais l'appeler et elle fera ce qu'il faudra. Nanika, s'il-te-plaît, je t'en conjure, quand je reprendrais ma place, fait en sorte que Killua se tienne là, debout et le cœur battant comme jamais.

N : Promis.

Un visage aux yeux et aux lèvres noir qui donne l'impression d'être sans fond, remplace le doux visage d'Alluka.

N : Avant de redonner vie à Killua, on doit remplir 3 de mes souhaits.

1. Faites moi un câlin.

Nous nous mirent tous autour d'elle et à l'unissons lui faisons un câlin.

2. Je veux avoir un cheveux de vous tous.

Nous lui donnèrent tous une mèche de notre tête, qu'elle prit et rangea dans sa poche.

3. Je souhaite, comme punition à Illumi. Tu ne pourra plus jamais utilisé ta capacité de manipulation pour faire du mal à qui que ce soit.

Maintenant que j'ai formuler mes 3 demandes, faite la votre.

Je me rapprocha d'elle et je formula ma demande.

G : Nanika, s'il te plaît redonne vie au corps de Killua. Fait que son cœur se remette à battre, que ces joues reprennent de leurs couleurs et que ces lèvres se répande de rouge.

N : Bien.

Elle agenouilla à côté de Killua, elle ferma les yeux, posa ces mains sur la poitrine du cadavre. Une éblouissante lumière jailli. D'effroyable longues minutes passèrent aussi lentement que des gastéropodes à coquilles (escargots). Quand enfin, la lumière s'arrêta de briller. Nanika recula.

L : Alors ? Ça a marché ?

N : Je crois... Laisse le temps faire l'affaire. (hihi ça rime)












Pom Pom Pom














J'suis tombé dans les pommes

















Ha



Ha



Ha












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Ma Lumière, Mon Amour...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant