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Selam aleykom wa rahmtollah !

Comme promis, voici votre chapitre.

🌌Bonne lecture ! 🌌

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Je vais au salon répondre à mon père avec un esprit bien en bordel, je croise Rahyan dans le couloir, qui se dirigeait vers sa chambre :

Moi (à Rahyan) : où est-ce que tu vas ?

Rahyan : baba nous a demandé de nous retirer. Avait-il répliqué avant de rentrer dans sa chambre dégoûté.

Ses sentiments étaient la moindre, mais vraiment la moindre des mes soucis en ce moment. Et je me suis dit que si mon père les a éloigné, Ça ne présage rien de bon.

J'suis rentrée dans le salon où il y avait mon père et ma mère qui avait Layal endormie sur ses genoux.
J'ai eu l'honneur d'être accueilli par le regard de la mort qui fauche de ma mère.

Mes jambes commençais à s'entrechoquer sous ma robe et je me suis vite assise sur le fauteuil en face d'eux mais loin d'eux aussi.
Le silence était vraiment pesant et se faisait mètre du lieu, de qui augmentait mon anxiété. Des bruits très bizarres se faisaient entendre dans mon ventre (PS: ça m'arrive quand j'suis stressée mdr, et je me dis oh Putain ! J'espère que les gens vont pas penser à autre chose ptdr ! Détendez vous, c'est que des gargouillements dues au stress mdr. Bref).

Mon père avait demandé à ma mère de conduire Layal à son lit et pendant ce temps, je commençais à jouer avec mes doigts, En les scrutant bien comme si elles étaient devenues très intéressantes d'un coup.
Je risqua de lever les yeux vers mon père pour voir son expression mais son regard de coup de foudre m'a fait rabaisser mes yeux et mon coeur se serra à s'estomper.

Ma mère revient quelques minutes après et rejoint sa place.

Mon père fit un "hum-hum" pour éclaircir sa voix puis me dit d'un ton colérique et dégoûté :

Baba : vient t'asseoir ici Izaya ! M'avait il ordonné en pointant du doigt la place qui restait à côté de ma mère.

J'avais l'impression qu'il voulait même pas prononcer mon nom.

Sans mots ajoutés, j'suis allée le mettre là où il avait désigné et toujours avec les jambes qui se cognaient sous ma robe.
La distance qui nous sépare à présent était très p'tit et cela me fait peur car mon père n'est pas du genre à lever la main sur ses enfants mais dès qu'il le fait, tu t'en sors avec de très grosses marques.

Il commence à parler et j'ai compris que c'est mon jour de mort.

Baba : Maïssane (c'est le prénom de ma mère) ! Aujourd'hui j'ai été convoqué à l'école d'izaya...

MON JOURNAL : TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant