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Selam aleykom !

vous allez bien par la grâce d'Allah j'espère ?

vous m'avez manqué trop même !

alors, je m'excuse pour ce retard, vraiment j'étais trop prise entre les études et un projet.

Vous me pardonnez ?

pour me racheter, je vous met un autre chapitre d'ici ce soir ou demain in shaa allah !

🌌Bonne lecture ! 🌌

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Moi : hmm ! OK ! ( un silence pour prendre le souffle) alors hier l'orque t'étais pas venue à l'école ben....

je lui raconte toutes les scènes dans prendre le temps de respirer même une seule fois. et t'avais mes larmes qui coulaient et un coeur qui se soulageait plus j'expulsais toutes ces douleurs.

j'allais terminer mon récit quand :

Hafsa : NAN MAIS T'ES UNE VRAIE CONNE ! WOLLAH, S'IL EXISTE PLUS CONNE QUE TOI, IL MEURT ! MOI JE TE CROYAIS PLUS MATURE ET PAS CAPABLE DE FAIRE ÇA MÊME SI T'EN AVAIS ENVIE ! JE TE SURVEILLAIS COMME UNE DARONNE ET SA P'TITE POUR PAS QUE TU TE LAISSE EMPORTER, MAIS EN VAIN !

Moi (en pleure): écoute Ha...

Hafsa : TA GUEULE ! ET PUIS TU SAIS QUOI !? TEUKASS !

Et elle avait fermé sans me laisser le temps d'ajouter quoi que ce soit.

Mes larmes coulaient en flot et troublaient pas vue.
Et je regretta amèrement mon acte !
Pourquoi j'ai pas réfléchi avant d'agir !?
Pourquoi je me suis pas retenue ?
Tu sais que Hafsa a raison ?
J'suis la plus conne au monde. Je me laisse guider par mon moi qui est égoïste qui ne pense qu'à sa satisfaction, ses désirs...

Après une bonne quart-d'heure à chialer, j'suis aller me jeter de l'eau sur le visage. Je commençais à sentir mon mal de tête et mes vertiges à causes des pleures, du coup, j'ai opté pour un bain froid afin de me remettre les idées en place.

Je sors de la salle de bain et j'aperçois une silhouette dans la glace, je fut apeurée. Je me rapprochée de plus près pour bien l'analyser car cette image ne pouvait pas être moi.
IMPOSSIBLE !
J'suis affreusement moche avec tout les signes d'une personne venant de pleurer : visage gonflé, yeux rouges et gonflés, nez de clown, face de cochon...
Je me suis encore mis à pleurer quand je sentis mon déjeuner remonter. Je me vida l'estomac, me rinça le visage et sortis difficilement des toilettes, à cause de les vertiges, pour m'habiller d'une robe légère d'été, même si on est en hiver. Je m'hydrate la peau d'une crème huillé et caches puis je prends mes médocs avant de retourner au salon.

MON JOURNAL : TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant