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Selam aleykom !

Comment vous allez aujourd'hui ?!

🌌Bonne lecture ! 🌌

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Donc j'ai saisis mon phone que j'avais posé sur la table alors que traité des exercices.

Je recommence à pianoter dessus avec des mains qui tremblent comme jamais. Je réfléchissais pas à l'acte que je commettais, j'étais comme possédée et toute mon attention était captée sur le texte que je composais.

Je finis et appuie sur transféré !

Et j'ai flippé lorsqu'on m'a notifié que le destinataire a reçu le message.

Le phone est tombé de mes mains et j'ai encore flippé. Mes membres tremblaient comme une feuille morte et mes larmes menaçaient de faire leur chemin.

J'étais à présent secouée. Putain Hafsa, pourquoi t'es pas venue ? Et là, Mes larmes ont coulé. J'ai couru dans les toilettes me vider les réservoirs.

Voilà pourquoi j'aime pas être seulo, j'ai besoin de compagnie pour ne pas faire de bêtises et Hafsa était une meilleure compagnie.

J'suis restée dans les toilettes pendant une demi-heure sans me soucier du cours qui a sûrement débuté depuis une quart d'heure. Mais j'ai réussi à me calmer et j'suis aller en cours de maths.

J'ai toqué à la porte avant d'entendre la voix du prof et des pas qui s'approchaient.

Le prof est maintenant face à moi. Il dégageait une lueur de tristesse lorsqu'il me regarda dans les yeux. Je crois qu'il avait pitié de moi. Et je suppose que ça se crame même à 1000km que j'ai pleuré car je devais avoir les yeux rouges et gonflés et mon visage devais être aussi pâle...

Mr Said : Mlle Noujaim ! Venez ! Entrez !

J'entre donc sous le regard des autres mais je fis même pas attention à eux. Je m'assieds à ma place sans mots.

Le cours s'est déroulé normalement sauf que moi j'ai pas suivi car j'avais la tête ailleurs et mes larmes menaçaient toujours de couler à chaque fois que repense à mon bêtise.

Malgré mes efforts pour les contenir, Elles font quand même leur chemin et je fus secouée d'un gémissement ce qui attira l'attention du prof et des autres.

Je me couche sur la table pour pas qu'on me voit car je devais être horrible avec le nez qui dégouline et tout ça. Je sentis une présence à côté de moi, une main sur mon dos puis une voix me parler :

??? : Mlle Noujaim ! Ça va pas ?

Vue que je répondais pas , il me fis lever par le bras et m'emmena je ne sais où. Et j'ai mis mains sur mon visage et posé ma tête sur son torse puis continue de pleurer de plus belle.

MON JOURNAL : TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant