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Selam aleykom !

Merci à toi qui me suis et qui me lis jusque là !

🌌Bonne lecture !🌌

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Hafsa : Ben, écoute hein je vais pas me permettre de te juger en quel que sorte mais avant que je te dise quoi que ce soit, je demande de répondre à mes questions. Tu veux bien ?

Moi : d'accord ! Vas y je t'écoute !

Hafsa : bien alors, La première chose que je voudrais savoir c'est quand est-ce que t'as su que t'as des sentiments pour Mr rajab ?

Moi : Ben, il y a quatre mois je crois !

Hafsa : Oh wow ! OK et euh ! Comment t'as su que c'était de l'amour ? Parce que euh, tu sais ça peut être de l'attachement ou de l'administration, je sais pas moi !

Euh, pour dire vrai, je m'attendais pas à cette question. Vraiment ! Mais bon, je suis obligée de répondre mdr.

Moi : en fait, j'ai remarqué qu'il ne me laissait pas indifférent à chaque fois que je le vois ou qu'il s'approche de moi ou qu'il me parle... Je sentais des palpitations, j'arrête pas de penser à lui,....
Tu vois ? Tu vois Hafsa ?

J'avais commencé à chialer , et elle s'est rapprochée pour me prendre dans ses bras !

Nous restâmes ainsi pendant une dizaine de minutes avant de nous séparer.

Hafsa : écoute ma chérie, t'en fais pas OK ? J'suis là pour toi moi D'accord ?

Je fis Oui de la tête en la fixant des yeux.

Hafsa : bon en reparlera si tu veux vue que là, il est l'heure d'aller en cours de chimie

Moi: PUTAIN !!! Il est l'heure passée de 10mns, on va se faire graille par Mr Alaj (notre prof de chimie)

Il est tellement grognon et foutre out un élève est comme voir son café qui lui sert de dopamine.
En tout cas on a un gros hic avec ce cochon.

Hafsa, elle est une vraie poltronne rien qu'elle me faisait les gros yeux qui s'apprêtaient à verser des larmes mdr !

On a couru tout en priant au fond de nous qu'il soit en retard quand bien même qu'on ne sache que ça servait que dalle !

On arrive devant la porte de la classe toutes essoufflées, et malheureusement, sa voix résonnait dans la salle comme si la tornade s'annonçait.
On repris notre souffle avant que je ne toc à la porte.

Je vous cache pas que mes jambes se cognaient sous ma jupe et des sueurs parlaient mon dos sous mon haut.
Wallah vous m'aurez touché d'une pouce et je m'évanouirai tellement j'avais peur du prof de chimie.

MON JOURNAL : TOME 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant