MON JOURNAL : TOME 1

🌻[11]🌻

Selam aleykom wa rahmatollah !

Comment vous allez mes amours ?

Moi, Je vais super bien maintenant hamdolillah ! J'ai vraiment repris le rythme.

El mohim !

🌌Bonne lecture ! 🌌

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Faouzi : OKay ! Alors tu voulais savoir par qui ou comment Rima a su pour toi et Mr Rajab ?

Moi : faouzi, tu connais déjà la réponse, donc vite stp, parce que vois tu, j'suis carrément pas bien là et toi si tu ne veux pas qu'on te découvre.

Faouzi : ce n'est pas Hafsa ni qui que ce soit qui a révélé ton secret, c'est toi même.

What ?
Je l'ai regardé d'un regard noir pour lui dire "t'es pas sérieuse ? " mais ses yeux me disaient qu'elle était sincère par contre je peux pas comprendre ce qu'elle me dit là, mais vraiment.
Je croyais qu'elle allait me libérer d'un poids,  mais nan,  elle me fait des blagues pourries. pff

Moi :  je m'en vais Pff !

Faouzi :  izaya wallah que je dis pas du n'importe quoi. Bref je t'explique. En fait l'autre jour où Hafsa s'était absentée, on a remarqué que t'étais agitée, t'étais super concentrée sur ton portable et on t'as vu sangloter puis t'es sortie de la classe en courant. Et bien, t'avais laissé ton phone sur la table sans le verrouiller, je ne sais pas ce qui t'avais pris mais on ne voulait pas se mêler. Par contre Rima, elle n'a pas hésité d'aller fouiner dans ton téléphone jusqu'à trouver ce message et un autre. On ne savais pas ce que contenait ce SMS mais elle était très fière d'elle. C'est aujourd'hui qu'on a su le contenu de ce message.

S'en était trop pour moi et ma tête.
Mais, bizarrement,  j'ai pas bronché face à ses révélations.
J'ai juste pris la direction de la sortie de l'école sans savoir si elle avait autre chose à ajouter.

Naella me rattrape à la sortie du lycée essoufflée.

Naella : hey, j'étais concentrée sur mon phone quand je t'ai plus vue ni faouzi.

Qu'est-ce que je disais ? Elle et son portable...

Je ne lui répondais pas et continue mon chemin vers l'arrêt de bus. Je sentis des remontées que je recale difficilement.

Naella fini par ne plus dire un seul mot mais elle passe son bras au tour mes hanches et me prend la main avec son autre main libre, quand elle me sentis entrain de zigzaguer.

Le trajet fut animé d'un silence de mort, et moi, me retenant de pas vomir dans le bus. Sinon ce sera la honte.