« je ne veux pas de toi » « laisse moi » « lâche moi » toutes ses phrases qui t'emplissent la tête depuis des heures, ces phrases que tu as voulu lui crier à la gueule, mais que tu n'as pas réussi à dire. Ce jour, la, ces mains étaient sur ton corps, ton corps qui puait la souffrance et qui tremblait de tous ses membres. Il te regardait de son regard pervers, cette personne que tu ne connaissais même pas.
Il te plaqua contre le mur et se colla à toi.
Toi, tremblante, tu voulus crier, mais sa main qui était sur ta bouche t'en empêchais, te laissant uniquement crié de l'intérieur. Tu ressens toujours ses mains répugnantes descendre sur ton corps, et son souffle se plaquer sur ton cou. Tu restas figée sur place face à cet homme qui était plus vieux. Il a osé poser ses mains sur toi. T'étais insouciante et lui sur de lui. Il t'a plaqué au mur et a commencé à caresser ton corps, a passé ta main doucement sous ton haut pour descendre légèrement vers tes cuisses pour ensuite les caressé. Tu étais corps à corps face à lui. Ces gestes devenaient de plus en plus brutaux et tu ne pouvais rien faire. Tu n'avais pas cette force. Tu étais paralysée par cet homme qui te tenais violemment les poignets pour pas que tu partes, qui mettais sa main sur ta bouche pour ne pas que tu puisses crier, qui te chuchotais à l'oreille des choses que tu ne souhaitais pas entendre. Il était déterminé à se soulager sans avoir ton avis, sans avoir ton consentement. Tu étais incapable de faire quoi que ce soit pris par ce sentiment de peur, de dégoût, d'angoisse. Les larmes coulaient quand il a commencé à mettre sa main entre tes cuisses. Tu priais Dieu pour que ce vacarme s'arrête. Tremblante face à lui tes larmes coulaient de plus en plus. Il a voulu abusé de toi. Il t'a brisé, brisé en mille morceaux
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Tempêtes de mots
PoetryEt si on laissait nos mots contrôlés nos pensées et nos sentiments ? Et si on se laissait guider par les mots venant du contour de nos pensées ? Si on se faisait le vide dans nos esprits durant un lapse de temps afin de laisser nos maux s'échappés