LOVE HAS NO LIMIT

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POV JULIO

Luna a raison, je devrai me laisser aller avec cette personne, je devrai ne pas avoir peur, aimer ne devrait pas être interdit mais cet amour là est très dangereux. Perdu dans mes pensés je n'entend pas la personne qui hante mes pensés arrivés :

- Tu veux une bière ?

- Si elle est fraîche oui.

- Tu penses qu'on devrait en parler aux autres de ce qu'il y a entre nous ?

- Ecoute Alessandro, je t'aime tu le sais mais j'ai peur de la réaction des autres alors...

- Alors quoi Julio ? ALORS QUOI ? ON DEVRAIT ARRÊTER ? ON DEVRAIT FAIRE COMME SI ON NE RESSENTAIT RIEN ENVERS L'AUTRE ? PARCE QUE MOI JE PEUX PAS FAIRE ÇA D'ACCORD ? JE T'AIME PUTAIN. Parce que moi je me vois avec PERSONNE d'autre que toi dans ma putain de vie. Alors oui on tue des gens, on les tortures, on fait régner la terreur au Mexique, mais j'ai besoin de cette bouffée de bonheur, de me changer les idées de temps en temps et ça je ne peux le faire qu'avec toi, ouais on est deux hommes, mais je te jure que même si t'étais une fille je serais amoureux de toi. Je crois que si je reste caché pendant encore longtemps je vais devenir fou et j'en ai rien à foutre de ce que Luis ou Sebastian peuvent penser car tant que tu es à mes côtés je me sens vivre.

Il s'était énervé, comme à chaque fois qu'on a cette discussion, mais non je ne veux plus qu'on fasse semblant parce que moi aussi je l'aime, moi aussi je veux crier au monde entier que cet homme m'appartient.

- Non Alessandro, t'as raison on devrait plus se cacher et je te jure que demain soir on leur dit parce que moi aussi je t'aime et moi aussi je ne peux plus me cacher car.. Sans me laisser finir de parler

Alessandro m'embrasse et putain que j'aime ses lèvres, elles me font toujours le même effet, elles me font toujours frissonner comme la première fois. Alors que nos lèvres sont toujours collées l'une à l'autre et nos mains elles sont occupées à se caresser le dos, les cheveux, le visage. A bout de souffle, nous voilà maintenant front contre front et à bout de souffle.

- Tu parles trop Julio.

Avait - il dit avant de reprendre possession de mes lèvres. Cet homme provoque en moi des émotions que je ne connaissais pas, ses mains sur mon corps me donnent envie de lui faire l'amour tous les soirs. C'était le seul homme à me faire cet effet alors oui, vous pouvez me détester d'être gay ou de l'aimer mais c'est la vérité et je ne peux ni changer ni contrôler mes sentiments. Détesté moi et je survivrai si il est là et avec moi.

Quand je suis arrivé au Mexique, je n'avais personne mais lui il était là sans même me demander pourquoi je souffrais il m'a consolé et c'est comme si il connaissait les raisons de ma peine car il a réussi à me sortir de cet enfer et je lui en serai éternellement reconnaissant pour ça.

POV LUIS :

C'est avec grande difficulté que je traîne Luna jusqu'à son lit, et je vous promets qu'elle avait raison, l'habit ne fait pas le moine car même si elle a l'air légère, j'ai l'impression de tirer un poids lourd. Une fois dans sa chambre, et comme je savais qu'elle allait me tuer si je changeais ses habits, je pris seulement soin d'enlever ses talons. J'allais sortir de la pièce mais je me suis rappelé qu'elle était maquillée et il était hors de question qu'elle passe la nuit avec tout ce maquillage sur son visage.

Elle va salir mes draps blanc alors je me dirige vers la salle de bain pour prendre ce qu'il faut, je fouille dans les tiroirs et m'arrête sur une boîte de somnifère ? Elle ne peut pas s'endormir sans ? Je ne m'attarde pas dessus et décide de prendre des cotons et du démaquillant j'en verse un peu sur le coton et putain sa pue. Pourquoi ça sent comme ça, je regarde la boîte et je me rends compte que j'ai failli me faire tuer, c'était du dissolvant. Ne sachant pas à quoi son truc ressemble, je décide de la démaquiller à l'eau. Je passe le coton sur son visage et elle est encore plus belle sans son foutu ravalement de façade, si elle pouvait m'entendre elle me tuerait. Après avoir enlevé le possible, je me rends compte que j'ai arraché ses cils sans faire exprès.

L'Ange de la MortOù les histoires vivent. Découvrez maintenant