Chapitre 0-Lettre défunt

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Arthur,

A l'heure où je me demande ce qui m'est arrivé, je n'aurais qu'une réponse rationnelle, je suis tombé amoureuse, d'un être, ignoble soit-il, que le diable en prend des notes de temps à autre.

L'homme est la bête, au temps où la femme est la proie.

On ne cesse de dire au enfant ne pas toucher au drogue, or l'amour fait bien plus de ravage que ces merde en comprimé, qui vous pénètre dans votre âme, pour n'y afficher qu'un souris béant, sans humanité, sans empathie.

Si vous sentez être un pantin, désormais, vous en êtes un, à l'égard de toute émotion qui vous feriez douter de votre sentiment du vivant.

Et dans ce qui peut être qualifier d'un bordel sans nom, n'est alors qu'un léger rire prononcé au bout de vos lèvres.

Ce rire prononçant, effrayant, que nul n'oserai prononcer sous la peine d'être jugée comme une personne à déficient mentale, vous le prononcez à longueur de temps, à longueur de votre journée, il remplace vos mots, vos émotions, en autre, vous.

Et c'est dans un dernier élan, que vous brandissez une lame, en ne possédant que l'espoir de taire que ce vous avez dans la tête.

Mais vous n'avez aucunement le contrôle de ce que vous pensez ou de ce vous faite, vous subissez, vos fait sans un mots, vous savez que cela est un jeu perdant que d'essayer, ou de même avoir l'idée d'être quelqu'un d'autre, et sans nier ce fait, vous accepter à avec rancoeur, votre destin.

Alice, ce n'est qu'un renvoir.

Jusqu'a  ce que la mort nous sépareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant