Jusqu'a ce que la mort nous sépare

Premier rencard

Les jeune feuille d'été tomber peu à peu, agonisante, se tordant de douleur, hurlant à l'agonie

Elle finissait par se dessécher, sans forme, sans esprit à reposer face au soleil d'automne 

Ce parc étais beaucoup apprécier en ces temps, quand elle mettre son écharpe d'une couleur orangeâtre, pour charmer les âmes-sœurs.

Une simple brise d'air souffler, balayant les beauté de l'été, les nuit de pleine lune, l'alcool lors des soirées, le soleil couchant sur la plage n'étais plus que souvenir d'un autre jours.

A bout de souffle, Arthur ne pouvait se retenir et cacher son stress quand il vu que sa montre afficher un retard impardonnable, après tout le temps ne se rattrape pas...

Ses pensés les plus pessimistes venez jusqu'à ce qu'il saute d'un pont lors qu'il compris qu'Alice étais sans-doute déjà partie depuis des lustres.

Épuisé, il tomba sur le banc en regardant impuissant l'immense cathédrale qui se dresser devant lui, la religion lui tourner le dos, d'un air méprisant, elle garder en ses tours, la richesse d'une culture pour le moindre malsaine,  dont ceux les faible d'esprit y croient dans un denier espoir.

Pourtant ce fut peut être le miracle d'une lumière ou d'un saint qui donna une chance à Arthur de réaliser son rêve hors celui d'y être le dernier survivants de ce monde.

Mais tresse de rêvasser, la voilà encore plus affolé que lui, entrain de courir un marathon que même les sportif les plus extrémis en jugerai d'une incapacité physique, pourtant Alice munie d'un jean et de chaussure de ville digne d'une conférence sur l'un des sujet les plus inintéressants de l'humanité.

Elle s'essaye de retrouver désespérément une forme de dignité une fois arrivé, tant que sa course fut à voir.

Malheureusement cela ne fut pas un succès immédiat, vu le sourire gêner que l'étudiant provoquer, priant pour que cela soit uniquement lié au stress.

Mais très vite l'échange repris normalement, et au bout de quelque minutes, les mains ainsi que leur destin fut lié.