Destin liés

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Le destin de certaine personne sont lié intiment aux autres, nul peut avancer sans l'autre, ainsi il ne peuvent se séparer, condamné à aimer ensemble, à y souffrir et à mourir.

L'ironie de cette dernière veut qu'on contrôle le destin des autres mais non le notre, prisonnier vous-êtes, au moins de subir les coûts, rendre à son prochain risque d'être la seule solution pour vous.

L'amour ne fonctionne que dans l'unique cas où chacun donne la même part égal du sentiment d'être l'âme sœur.

Sans doute que cela est compliqué pour les quelque millions d'illettrés de culture qui n'y voit que le sentiment charnel à l'argent 

Ceux qui exercent ce genre de pratique, devrait être maudit à devenir mortel, que leur désir leur mène à leur propre destruction.

La poussière se glissée entre leur pas, ratissant les cailloux, cela fessait sûrement des heures qu'il se côtoyer, sans avoir étais plus loins q'un serrage de mains.

Arrivant a un petit pont de bois, ce dernier craqua sous le poids des lourds hanche d'Alice, et enfin d'assurer leur survie et leur vêtement secs, elle décida de grimper et de s'assoir contre la rembard de fer.

Les mains tremblante, il saisit parmis le tendre choix qu'il étais proposer, avant d'y rapprocher et sur un coup de tête, l'embrasser...

Malgré que l'action futur courte, le sentiment qu'il ressentie dépassa tout ce qu'il pu imaginer digne d'un ado droguer aux hormones.

En manque, l'action se répète, or cette fois-ci cela durerai quelque secondes, avant que le poids de l'amour fit basculer Alice hors du rivage,dont Arthur finir par suivre.

Une fois la tête plonger dans l'eau, le temps d'un instant, ses yeux resta fermé, à écouter le battement de son cœur, pendant que le froid congelé l'extrémité de ses doigts, qui finirai bientôt par l'empêcher de remonter la tête hors de l'eau, et dans un deuxième élan de survie, ses bras fit l'effort de remonter, apercevant Alice complément trempé, les cheveux démêle face au courant, exprimant un sourire qui valait bien plus que tout les mots de ce roman.

L'apprenti canetons ressortie la tête de l'eau, prenant une véritable bouffer d'oxygène, et le ressentie de vivre n'avait' jamais Pris autant ce sens.

Du guissement des canards en montrer leur rire face à cette situation grotesque.

Jusqu'a  ce que la mort nous sépareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant