Un seul regard, un seul regret

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Cette affreuse sensations le dévorer de l'intérieur, comme un poisson 

Une affreuse douleur à la poitrine qui l'empêcher de faire le moindre mouvement, cette douleur qui traverser son cœur y parcourez tout son corps,

N'ayant que ses yeux pour pleurer, les souvenir comme échappatoire à la réalité lui revenez en tête, Tout ceux qu'il avait vécu, et son seul regret Alice...

C'était un jour comme les autres, où le jeune étudiant n'étais pris que par la fatigue qui l étais devenu insupportable, la mort lui tourner autour comme un vautour en attendant que sa dépression lui donnez raison, il n'avais que faire de la richesse qu'il posséder, il ne rêver que d*une chose chose, vivre l'amour avec un grand A.

Arthur étais un garçon de type moyen, vêtu de façon noir, il en exécuter son propre deuils, ses yeux vert innocent se cacher derrière ses lame de verres, et derrière son sourire s'y cacher des larmes, ses cheveux étais couper mi-court et son pantalon trop serrer rappellera son éducation de bonne valeurs.

Autant dire qu'il étais loin d'être l'âme-Soeur de qui-qu'on en ces lieux, n'étant que le bougre de quelque garçons et de leur plaisanterie grotesques, dont-ils n'en assumant quelques propos...

Quelque détour de regard dans les vestiaires, quelques vérité  étais prononcé mais rien n'étais vraiment réel sortie de leur sottises, revenant à la réalité, quand les pupilles cesser de se dilater, et que la raison finissait toujours par l'importer.

Ce jour, où Arthur n'avais que de pensées, à peine réveiller, d'un pas hésitant, il traverser un long couloir dont s' y trouver les photos d'un passé oublier, que l'harmonie de ses talons claquant contre le sol étais perçu, fessant taire ses voix dans ses tête.

La Lueur des vitraux ressortez d'une façon symétrique, se jetant les bras ouvert sur damier, un leurs d'espoirs en ceux qui croient au miracle du la création, ceux qui prie pour libérer le conscience et pardonner à leur démon intérieur.

Le temps d'un instant, son regard se tourna vers la gauche et aperçue une jeune étudiante, elle n'avais rien d'exceptionnel, mais elle lui fit ressentir une émotions inconnue, il ne cessez de la regarder, de son chemise rentrée dans son pull-over bleu à sa jupe qui laisser entrevoir les désirs charnels  ,de ses yeux d'une vierge innocente à ses lèvres qui ne pouvait que dire de mots.

Son charme lui tira une flèche de cupidon en plein cœur, ses pupilles se dilata, ses doits se mit à frémir, son cœur a battre plus fort, ses pensé se mélanger et confus, il n'y pu dire quoi que doit-soit qu'un simple salut, une stupide salutation...

Puis le temps repris son court, si court étais le moment qu'elle étais déjà partie, tant-dis que Arthur étais rester planter là comme une plante verte à fixer le couloir vide d'émotion...

La sonnerie retentis, telle un réveil brutal vers la réalité, cela n'avais t'il vraiment exister?


Jusqu'a  ce que la mort nous sépareOù les histoires vivent. Découvrez maintenant