Jusqu'a ce que la mort nous sépare

Le temps d'un instant

Le temps d'un instant, cessa toute existence, le brouhaha que provoquer les différentes troupeaux d'étudiant étais devenu muet, l'ambiance étais plus froid que dans un cimetière, autour d'Arthur personne...il étais seul...seul face à cette personne dont il connaissez même ...

« Alice! », a peine la question posée, qu'elle y répondit, elle effectua un sourire, qui rompu tout silence, et qui plia tout les ténèbres de cette pièce a ses genoux.

Le temps repris, Arthur,répondit simplement cela, d'un ton timide et assez froid, il regretta ces mots en les disants, nul n'avait vu une telle prestance, d'un charisme inoubliable tant cela étais médiocre.

Elle enveloppa son sourire dans les tissus de écharpe, des lèvres si délicate qui ne demande qu'à  être embrasser...

Les pensés mal-saine d'Arthur du traverser l'esprit d'Alice qui rougissais à cette idée, elle ne su répondre dans un premier temps, puis d'un ton ironique elle commença à enchaîner les rires digne d'un enfants.

Pendant ce temps, les yeux du jeune étudiant n'avait que paire pour ses différentes formes, bien garni par la nature, cachée par un long manteau noir qui descendent  jusqu'à ses généreux mollets, que même sa jupe ne pouvez cacher.

Pourtant cela ne l'empêcher pas de l'admirer et même au contraire, il l'a désiré encore plus, l'imaginant qu'en haute couture, dans des vêtements qui semble trop fin pour allez à qui que soit.

Il étais très créatif quand il s'agissait d'y imaginer ce genre de situation pour le moindre grotesque mais toute comme tout les fantasme, aucune réalité ne peut souvent assouvir ces désirs pour le moindre spéciale.

Sans vouloir déranger ses pensés, Alice fit comprendre qu'elle avait cours d'art avant de partir d'un pas lent, d'une lenteur égale à celui un mort-vivant dans une séries B.

Arthur décida de participer à cette mascarade en allant de son plein-gré vers la sortie, sans presque lever la jambe, et la limite de ramper tant etais la fatigue de ce dernier.