A un moment donné, le plus beau souvenir d'une Homme finit par être le pire, ce qui lui permettait d'avancer peut le ralentir, l'empêcher de vivre et le briser quand le monde s'effondre devant ses yeux.
Ce souvenir étais celui la, quand les deux être se rencontre sans connaître leur passé douloureux, leur présent qui fut ce souvenir et le futur qui construirons ensemble
A sa grande surprise, ses yeux s'ouvrît en grand, la pupille dilatée, le regard vide, fixant le plafond depuis quelque secondes,quelque minutes,ou peut être même quelque heures, reniant le faite d'être en vie, encore plus d'être conscient,se concentré qu'au son interminable qu'effectuer l'horloge, tant de clic, de clac...Arthur n'avais qu'une envie autre que l'alcool, c'était de tuer le temps qui l'étrangler, il aurait aimer l'étouffer, le massacrer...si il y avait un responsable à cette comédie....
Mais malgré tout ses efforts, il n'avait pas ce courage ni la force d'appuyer sur la détente ou simplement de couper la tête.
Arthur avait toujours la tête sur les épaules, et de son jeune âge, il étais déjà un homme de science, promu un avenir radiaux de médecine, ne comptez que le résultat, le reste n'avait aucune importance.
Du moindre c'est qu'il fessait croire avec des mensonges, la réalité étais toute autre, le jeune garçons se sentez terriblement isolé, ne rêvez que de vivre une relation et aurait parler avec un chien possédant un chapeau sur la tête ne lui aurait guère gêner.
Arthur n'aurait pu imaginer qu'aujourd'hui, il aurait amplifié cette réalité, qu'on pourrait douter de ces faits autant que cette métaphore qui vous paraît grotesque.
C'était lors de son cours d'algèbre, alors que le jeune étudiant étais avachie sur sa table,gravant quelque stupidité pendant que qui ressembler un vieux chêne sans feuilles écrivez son savoir à la craie, le bois craquer au bruit des ses talons.
Le squelette de science en riait au fond de la pièce, d'un sourire narquois, assister au désespoir des élèves d'octobres, pendu à sa perche, nul ne pouvait le contredire en ces temps.
Enraciné au sol, ce fut si à peine quand la sonnerie sonna, son corps pu bouger
Les algèbres étais la chose la plus fascinante et la plus ennuyeuse que l'humain a pu inventer, il ne compose pas de lettres, encore moins de mots,et pourtant c'est une véritable langue,si simple en apparence,qu'on connaît chaque chiffre mais dont aligner nous semble incompréhensible.
La tête rempli de language d'un intellectuel qui n'est que stupidité, dont seul les élus au quel leur cerveau n'a pas fait un accident de vasculaire, devienne médecin ou ces genre de charlatans, qui y voit les corps et les esprit seulement comme une suite de chiffres et d'ordonnance.
C'est dans un dernier l'espoir que son 21ème café l'achevera que sa pensée fut détourner, quand s'arrêta aux Saint-Gall qui est la machine à café, celle qui tant-tôt en un regard l'avais hypnotisé fut devant ses yeux.
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Jusqu'a ce que la mort nous sépare
Mystery / ThrillerArthur est un écrivain amateur commettant ces mémoire sentant la fin arrivée, il en arrive aux chapitre concernant la femme qu'il aimée, et dont son deuils n'a jamais étais exécuté.