Je me promènait dans mon quartier comme chaques vendredi soir, à la recherche de rien d'autre que la tièdeur de l'air sur mon visage, en tête aucune destination juste marcher avec mes écouteur dans les seuls endroits éclairé par la lune me suffisait. Mais à coté de cette endroit éclairer se trouvait un endroit sombre ou une scène encore plus sombre s'y déroulait . Je m'arreta regardant la scène avec aucune émotion. Habituellement j'aurai crier voir peut être pleuré mais dans les phases comme ça je ne suis pas capable de ressentir quelque chose- Tiens ? Ça s'annonce plus sanglant que prévu.
Je releva les yeux sur la silhouette debout derriere le corps qui me regardait.
- Laisses moi s'il te plait.
Aucune peur ne résonnait dans mes mots.
- Tu es suicidaire ? Demandait-il en s'approchant de moi qui n'avait pas bouger.
- Non. Je n'ai pas envie de mourir
- Quelqu'un qui aime la vie ne réagirait pas comme ça, sourrit il en sortant un mouchoir pour essuyer le sang de son couteaux.
Je le regardais faire toujours sans rien dire la musique tournait toujours dans mes écoueurs.
- J'aimes la vie, sinon je ne le dirais pas.
Il laissa échaper un rire assez bruyant.
- Tu semble plus essayer de te convaincre qu'autre chose, continuait-il de se moquer.
- Je deteste les gens comme toi.
- Ce n'est pas la première fois qu'on me le dit, sourit il.
- Je détestes les gens qui pensent tout savoir alors qu'ils se trompent.
Cette situation était iréelle, un homme mort était sous mes yeux et à la place d'appeler la police je menait uns discution avec son meurtrier. qu'est ce qui ne va pas chez moi ?
Je regardait une nouvelle fois ses yeux qui semblait avoir vu trop de chose qu'un homme puisse supporter actuellement caché par de la moquerie. Je sortis mon téléphone et il fronça les sourcils attrapant ma mains.
- Que comptes tu faire là jolie fille ?
- Passer cette musique lui dis-je en appuyant sur la flèche pour passer à la chanson suivante.
Il laissa échapper un rire et je retira mon bras de sa pris pour le remettre dans ma poche.
Un cri se fit entendre. Un homme devait avoir trouver le corps, avant que je ne puisse voir le visage de l'auteur du crie je me retrouvais cogner contre un dos sur l'épaule du meurtrier qui se mit à courir.
- Sur le coup j'ai peut être fais une gaffe princesse, où habites tu ?
- Laches moi ! Cirais-je semblant reprendre mon humeur habituel.
- Ne soit pas si bruyante je suis actuellement entrain de te sauver d'une arrestation. Grognait-il.
- Ce n'est pas moi qui ai tué l'homme je n'ai rien à voir avec ça !
- Assistance pour personne en danger, ça te dis quelque chose ?
Je ne répondis pas. C'est vrai je ne l'avais pas aidé, cela fait de moi une complice... J'arreta de me débattre sur son épaule et il le sentit.
- C'est bon il méritait sa mort, il continuait de courir sans montrer un soupçon de fatigue. Il à été coupable de viol à plusieurs reprise.