Chapitre 11

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[...La seule solution ça serait d'appeler Zak et de lui demander c'est qui Nahyl....

ouais ! C'est la seule solution, la seule...

Je prends mon bigo et sans perdre de temps, j'appelle Zak.

Lui: Ouais !

Moi: T'es où la ? J'peux prendre 2 minutes de ton temps ?

Lui: Ouais t'inquiète, j'suis posé en bas, j'fais rien.

Moi: D'acc, tu le connais ce Nahyl ?

À la seconde où j'ai dis ça j'ai regretté.

Il y a eu un silence.

Moi: Zak ?

Lui: Quoi maiss..questu m'raconte la Nahyl c'qui ça ?

J'ai bégayé, oh non il le connait pas...j'aurais pas du l'appeler!!!

Moi: (bégaye)

Lui: C'qui ça dinmok ! TU M'APPELLES POUR ÇA ZEUBI !!?

Il haussait la voix, je savais pas quoi faire, j'ai paniqué donc j'ai raccroché et j'ai éteint mon téléphone.

Le pire qu'il puisse arriver c'est qu'il vienne toquer chez moi...

Bon, y'a qu'une seule manière de savoir c'est qui « Nahyl », c'est d'aller où il m'a dit d'aller, à l'heure où il m'a dit d'y aller.

Et c'est ce que je vais faire.

Je tournais en rond pendant les 2 heures qu'il y a entre 16h et 18h.

Puis il était enfin presque 18 heures, il fallait que j'y aille.

Au cas ou c'est un guet-apens, je mets toutes les bagues que j'ai trouvé dans l'armoire de khelti, une veste à capuche et un gros jogging.

Je mets ma capuche avant de sortir et je descends les escaliers en espérant croiser personne le temps de me rendre à destination (derrière mon bat).

Je me croyais en mission ! J'avais la dégaine des américains avec toute mes bagues et mes vêtements la...

Bref j'arrive la bas, y'avait personne.

C'est une blague ?

Je tourne un peu autour de moi même pour regarder si y'a pas quelqu'un et je vois un grandddd rebeu, il avait de la barbe, le teint trop beau, le visage, mashAllah il était magnifique. Il sortait d'une gov, je l'avais jamais encore vu au quartier donc c'est peut être lui Nahyl.

Il s'approchait de moi, olala ça doit être lui...

Plus il avance, plus je vois son magnifique visage, il avait les yeux vert !! MashAllah une bombe...sa beauté m'a marqué.

Et y'a moi à côté qui a la pire dégaine de l'île de France, la hesh !

Bref il arrive à ma hauteur et me regarde avec un petit sourir.

Il me tend sa main (à parce qu'il est poli).

Je le tchek façon civilisé.

Lui: Dina ?

Moi: Ouais ! Nahyl ?

Il rigole puis redevient sérieux d'un coup..

Lui: Ouais...viens.

Il attrape mon bras, et il me tire???

Moi: Ehhhh, tu fais quoi la ?

Il me lâche et s'arrête.

Dina: nouvelle à la cité. (En cours) RÉÉCRITUREOù les histoires vivent. Découvrez maintenant