Quelques semaines de plus passèrent, Émilie allait au cour de PRICE mais ne relever jamais le visage vers celle ci. Elle ne prenait jamais part au cours ni au travaux de groupe préférant rester dans son coin à griffonner. PRICE voyant son attitude et ça façon de se renfermer encore plus sur elle même décida de la confronter ce soir veille des vacances. Cela n'aller pas être une partie de plaisir mais elle aller la pousser dans ces derniers retranchements pour la confronter au problème et pouvoir la sortir de cette situation.
PRICE : Le cour est fini. Vous pouvez y aller et profitez bien de vos vacances. Profitez en aussi pour réviser tout depuis le début du semestre car le partiel est à la rentrée. Mlle TRUMBLAY, veuillez rester la, j'ai à vous parler.
Tout le monde sorti de l'amphithéâtre en souhaitent à PRICE de bonne vacance et elle reçu beaucoup de regards d'encouragements pour ce qui aller suivre dans les prochaines minutes. Émilie qui avait déjà un caractère et un tempérament assez solitaire, c'étais encore plus renfermé sur elle même depuis quelques jours. Elle qui n'avait pas lever les yeux sur son professeur de tout le cour, l'a fixait maintenant sans la lâcher une seul seconde.
Émilie arrivait chaque matin avec un air extrêmement fatigué sur le visage, des yeux rougis par la fatigue et par quelques substances illicite. Les scarifications qui étaient sur ses avant bras au départ avaient maintenant pris possession des ses cuisses pour laisser un peu de repis à son haut du corps.
PRICE ferma la porte et ce dirigea vers Émilie. Contre toute attente c'est Émilie qui prit la parole.
Émilie : Qu'est-ce puis-je faire pour vous Mme PRICE ?
PRICE : Ne faites pas l'innocente Mlle TRUMBLAY, je vous ai laissé du temps, j'ai pris sur moi, mais cette situation ne peut plus durer !
Émilie : Je ne vois pas de quoi vous parler, je viens à vos cour comme vous me l'aviez recommander ... et de toute façon je ne veux pas d'aide et je n'en au aucunement besoin.
Émilie comprenait ou elle voulait en venir, elle se leva et commença à se diriger vers le porte mais PRICE ne le vit pas de cet œil si et la retint fermement lui arrachant un grognement. Elle se mis face à elle, releva la manche d'Émilie et constata le nombre de scarification qui s'étaient rajoutées aux autres. Elle ne dit rien, lâchant alors son bras et releva elle même la manche de sa chemise lui montrant les siennes. Émilie n'en revenait pas, elle aussi avait des marques similaire au sienne. PRICE prit alors la parole.
PDV ÉMILIE
PRICE : Ce n'est pas parce que vous êtes détruite aujourd'hui que vous serez détruite demain. Quand vous voudrez en parler sachez que je serais présente et que je serais à même de comprendre et de pouvoir vous aider. Car oui je ne compte pas vous laisser dans cette situation que vous le vouliez ou non. Vous avez un brillant avenir devant vous et vous êtes en train de tout gâcher gâcher gardant tout pour vous. Vous avez des amies à qui vous confier si vous ne le faite pas pas moi, mais parlez en ...
PRICE commençait à partir et Émilie restait la sans bouger. Sans comprendre ce qu'il venait de ce passer. Dans un éclair de conscience elle prit la parole.
Émilie : Je ne veux pas que l'on m'aide, c'est si difficile à comprendre que ça ! Et surtout je veux qu'on me laisse tranquille.
PRICE : Je ne vous laisserez pas tomber que vous le vouliez ou non je ne vous laisserez pas tomber.
Émilie : Pourquoi vous faites ça, je ne vous ai rien demander.
PRICE : J'ai déjà perdue quelqu'un a cause de ça ... Dit-elle en montrant ses avants bras, et je ne veux pas que ça se reproduise.
Émilie : Attendez... Je suis désolé de réagir comme ça mais j'ai toujours appris à réagir comme ça. Ma meilleur défense c'est la fuite. Je ne sais pas comment faire autrement.
PRICE : OK, viens t'asseoir Émilie.
Émilie : Ah, c'est bon on a arrêté le nom de famille ?
PRICE me regardait avec un petit sourire, roula des yeux et me dit de me taire en riant.
PRICE : Rhooo mais taisez-vous...
Je suis donc aller m'asseoir à sa demande. Nous avons discuté pendant une bonne heure assise l'une en face de l'autre. Par moment nous faisions que nous regarder sans n'échanger aucun mot. Pas besoin besoin de mot quand des regards suffisent. Il y avait une certaine proximité entre nous deux, ce besoin de détailler la personne, d'enregistrer chaque trait de son visage. PRICE se leva et ce dirigea vers son sac ou elle en sorti un bout de papier, elle écrivit quelques chose dessus, elle se rapprocha de moi et me le tendit. Lorsque je l'ouvris je pu y voir une fine écriture avec une adresse mail. Une adresse mail sérieusement? Qui communique par adresse mail de nos jours. Voyant mon regard d'incompréhension elle pris la parole et me dit.
PRICE : Il s'agit de mon adresse personnelle dans le cas où vous aillez un coup de mou et qu'il vous venais à l'esprit de refaire ces choses stupides! Me dit-elle en me désignant les avants bras.
Émilie : Merci, j'y penserais ... peut-être...
PRICE : N'y pensez pas faite le.
Je mis le boit de papier dans la poche de mon jean et me leva pour partir sous son regard brûlant. Arriver devant la porte de la salle je me suis arrêtée, ne bougeant plus, me demandant si il était approprié de lui courir dans les bras ou de ne rien faire et de presser cette poignet pour partir loin d'elle et éloigner avec moi toute ces choses que je commence à ressentir.
Quelques secondes de réflexion et je sortis de la salle sans un regard en arrière. Je ne voulais pas d'aide, je veux juste que cette souffrance s'arrête, je veux les retrouver eux.Je longeais c
'est long couloir désormais calme. J'aime le calme, pouvoir réfléchir ou justement ne penser à rien sans aucun bruit parasite autour. Arrivé au niveau de la porte qui menait à l'extérieur, le calme n'était plus présent. Ce calme était remplacée par des trombes d'eau qui tomber sur les tables du gymnase provoquant un bruit très assourdissant.Émilie : Non mais le sort s'acharne aujourd'hui ou quoi? J'ai rien demandé moi ! Dis-je en murmurant.
PRICE : Faites pas cette tête moi aussi je n'aime pas la pluie. Mais comment on dit après la pluie le beau temps. Aller, venez je vous ramène maintenant que je sais où vous habitez. Me dit-elle avec un petit sourire.
Ce petit sourire est juste magique, quand elle le fait, ça lui provoque une petite fossette juste au dessus. Je ne répondis rien mais la fixait toujours. Il faut vraiment que j'arrête de la fixer comme ça elle va me prendre pour une psychopathe. Ne donnant pas de réponse elle du prendre cela pour un oui car elle m'invita à sortir en posant sa main au bas de mon dos
Dieu merci que j'ai une veste un peu épaisse pour ne pas sentir cette pression qu'elle exerce sur moi. Nous poussons la porte et commençons à se diriger vers sa voiture qui se trouve a quelques mètres de celle ci. Arrivée devant sa jolie Audi, Madame cherche les clé dans son sac, comme si il ne lui était pas venue à l'idée de chercher les clé avant de sortir se tremper. Une fois celle si trouvée nous étions toute les deux telle des éponges, trempée de la tête au pied.
![](https://img.wattpad.com/cover/270021761-288-k155499.jpg)
VOUS LISEZ
Une rencontre inoubliable
RandomÉmilie TRUMBLAY, jeune femme de 23 ans en fac de psychologie fait vivre en enfer à ses professeurs. Que va t'il se passer lors de la rentrée lorsque l'une des ses anciennes professeur va être absente pour raison personnel et va être remplacé par un...