Un combat entre le bien et la mal, une histoire oublié de tous, une héroïne malgré-elle, Héritière d'une lignée oubliée... Et peut être, la rédemption du futur plus grand mage noir du monde sorcier. Mais aussi l'une des plus grandes dissimulations d...
La pièce était circulaire, un énorme bureau aux pieds en forme de serres trônait entre deux escaliers menant à une plateforme ou une dizaines de corbeaux croassaient. Les murs étaient tapissé du même bleu que la robe de sorcier du directeur. De grandes armoires longeaient les murs et de grandes fenêtres éclairaient d'une douce lumière. Des tableaux représentant des hommes tout aussi barbus que l'homme devant elle, la dévisageaient. Le professeur Dippet l'invita à s'asseoir sur un fauteuil matelassé de velours taupe.
- Alors, mademoiselle MacAlister. Comme vous devez vous en doutez, une inscription en cours d'année est loin d'être commune. Cependant, face à votre cas exceptionnel et au soutient d'un de nos professeurs, je ne pouvais pas vous laissez dans cette triste situation.
- Et je vous en remercie, monsieur.
- Le seule chose que je demande de votre part c'est une conduite exemplaire et des résultats optimaux.
Je m'en doutais un peu.
- Pour ce qui est de ma conduite, je vous assure que vous n'entendrez pas parler de moi en mal. Par contre, j'ai un peu peur pour mes résultats. J'ignore si j'ai du retard ou de l'avance par rapport au autres élèves. Est-ce qu'il me serait possible de demander à un élève ou à un professeur de me donner des heures de cours ou des devoirs supplémentaires pour combler mes lacunes ? Demanda t-elle.
Mr Dippet se caressa la barbe pensivement pendant quelques minutes.
- Je ne vois pas comment vous refuser une demande aussi simple.
Il fit une petite pause tout en se caressait la barbe, pensif.
- Voilà comment nous allons procéder. Une fois votre maison établit, vous verrez avec son préfet en chef. Puis si il faut qu'un des professeur vous vienne en aide, vous pourrez toujours lui demander à la fin des cours. Est-ce que cela vous convient, jeune fille ?
- Bien sûr... Je vais devoir passée sous le choixpeau ? Demanda Aileen qui ne comprenait toujours pas comment un chapeau, même magique, pourrait la répartir dans une maison.
- Évidemment, c'est une tradition. Dit le barbu en se levant.
Il alla chercher le chapeau dans une des armoires vitrées. C'était un vieux morceau de tissu poussiéreux, rappé, sale et rapiécé. Elle ne voulait pas trop de cette chose sur sa tête. Le directeur dit au vieux chapeau qui commençait à remuer.
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- S'il te plaît, passe directement aux différentes maison que nous fassions ceci rapidement.
Une voix grave et rocailleuse lui répondit par la déchirure qui servait de bouche à l'objet magique.
