⚠️ 𝗘𝗡 𝗣𝗔𝗨𝗦𝗘
Il est dangereux. Il ne peut le contrôler.
Elle est si douce. Elle peut l'apaiser.
Ils viennent de deux mondes différents, lui trop brutal, elle si sage. Mais comme un yin et un yang l'un ne peut se compléter sans l'autre.
─ C...
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𝑨𝑽𝑬𝑹𝑻𝑰𝑺𝑺𝑬𝑴𝑬𝑵𝑻 : Mentions dark, dépression.
(Ce chapitre s'adresse à un lectorat averti et contiendra tout au long des mentions dark, de dépression et des symptômes qui l'accompagne. Ce genre d'écrit pouvant perturber certains lecteurs/trices, merci de rester vigilant lors de ce chapitre.)
≡ 𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄 • 𝟒𝟕 ≡
Kyoto, Sakimoto Hospital University
Vendredi 31 Mars
14:32
-Nous avons fait tout notre possible, malheureusement la violence de l'entaille a endommagé votre utérus. -Dit-elle doucement -L'endomètre et la cavité utérines ont été touchés.
Non.. Non non non...
Le cardiogramme devenant de plus en plus inquiétant, celui-ci retranscrivait les battements de mon cœur paniqué tandis que mes perles de couleurs se noyaient sous un épais voile larmoyants.
-Je suis navrée mademoiselle, vous êtes désormais stérile... -Commençait la chirurgienne -La conception d'un enfant par voie naturelle est toujours possible mais votre utérus endommagé ne pourra jamais plus permettre à un fœtus de se développer. Il finira par se décrocher de votre muqueuse utérine et causer une fausse couche, peu...Importe le nombre de fois que vous essaierez. -Dit-elle -Je suis sincèrement désolée.
Et mon monde s'écroulait violement.
Explosant en pleure, mes larmes déferlant contre mes joues, je reportais ma main à mon visage tandis que la chambre fut désormais comblé de mes pleures déchirants.
La douleur de mon entaille écrasant la morphine,, mon cardiogramme émit en suite un bruit d'alerte par dessus mon rythme cardiaque trop rapide. Je n'arrivais plus a respirer, je ne contrôlais plus rien.
-Remettez lui son masque tout de suite. -Se précipitait la chirurgienne en contournant mon lit sous les regards inquiets des autres mafieux.
Plaçant de nouveau mon masque contre le pont de mon nez, mes pleures déchirés furent étouffé par le masque qui insufflait en oxygène. Et sa main reposant contre mon front, Namjoon regardait la chirurgienne de l'autre coté de mon lit piqué mon bras d'une fine seringue et y injecter un calmant tant la tournure des choses pouvait m'être fatale.