⚠️ 𝗘𝗡 𝗣𝗔𝗨𝗦𝗘
Il est dangereux. Il ne peut le contrôler.
Elle est si douce. Elle peut l'apaiser.
Ils viennent de deux mondes différents, lui trop brutal, elle si sage. Mais comme un yin et un yang l'un ne peut se compléter sans l'autre.
─ C...
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≡ 𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄 • 𝟎𝟖 ≡
Séoul, Demeure Adonis
Lundi 06 Décembre
12:22
Respirer.
Quoi de plus vital que l'oxygène qui nous permet de nous remplir de cet air pure. Il nous comble, nous nourrit, nous détend. Pour les anxieux il permet le contrôle des nerfs, pour les nouveaux nées de faire leur première étape sur cette Terre, pour les intubés de rester en vie.
Respirer nous fait du bien, et si mourir était déjà horrible, mourir par suffocation est la pire des tortures.
Je pouvais sentir mes poumons se remplir. Mon corps sortant du sommeil, le bout de mes doigts pouvaient percevoir un doux touché, mon odorat sentir une odeur familière, et mon ouïe se développer pour entendre du mouvement autour de moi.
Ouvrant doucement mais difficilement mes yeux, je fus premièrement aveuglé par ce qui semblait être la lumière du jour. Encore dans les vapes, je tentais de porter ma main gauche à mon visage avant de sentir une vive douleur me piquer dans l'intérieur du poignet.
Maintenant plus réveillé, mes yeux ont regardés l'endroit douloureux de mon poignet avant d'y voir une perfusion encré dans ma veine principale. La seringue avait bougé dans ma route sanguine me causant cette soudaine douleur.
Je devrais être morte.
Regardant ma main, elle était alimenté et sous perfusion par une poche de liquide incolore pendue à une tige porte-sérum.
-Non tu ne rêve pas, tu es bien vivante. -Parlait une voix sur ma droite.
Surprise, je sursautais avant de tourner mon visage en direction de la voix qui s'est épanouie dans la chambre. Hoseok se tenait appuyé contre ma commode en observant dans sa main les petites flocons artificiel s'éparpiller autour du petit lapin blanc à l'intérieur de ma boule à neige. Bougeant doucement sa main, celui-ci activait de nouveau les petits flocons secoués avant de la reposer contre la surface de ma commode.
-Tu es du moins revenue du monde des morts. -Il a continué avant de se redresser.
-J'ai arrêté de respirer. -J'ai relevé les yeux jusqu'à lui.
-Ça ouais on a bien vu que tu avais arrêté de respirer.
-Et tout ça...? -J'ai regardé la perfusion avant de pointé des tubes de crème pharmaceutique.