𝐀𝐃𝐎𝐍𝐈𝐒 • 𝟑𝟑「 𝐏𝐀𝐑𝐓.𝟐 」

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄 • 𝟑𝟑「 𝐏𝐀𝐑𝐓.𝟐 」≡

Daegu, province de Dong-Gu

Dimanche 02 Février 

22:16 

La clochette résonnant à l'entrée, nous nous inclinions tandis que Jungkook venait d'ouvrir la porte pour notre départ. Après avoir terminé de manger ramens et onigiri, le retour nécessaire à Séoul nous rappelaient. La gérante de la petite épicerie locale s'inclinait légèrement de son dos devenu vieux avant de nous remercier de notre visite. 

Me laissant entamer le pas, je sortais la première de l'épicerie avant que l'air brutalement froid ne nous brusque encore une fois. Mais de cet air, je pouvais respirer une agréable odeur d'herbe humide tandis que mes expirations formaient de petit nuages de condensations qui s'envolaient. 

Le bruit de nos pieds marchant contre le béton mouillé de quelques graviers perdus nous nous plongions de plus en plus dans la pénombre du parking où sa voiture y était garé. Rassasié, il n'y avait vraiment pas mieux qu'un simple pot de ramen à la place d'un chic restaurant. 

Sortant les clés de voiture de sa poche, le brun appuyait sur l'ouverture automatique qui illuminait ses feux de détresses un court instant. 

A proximité de sa Maserati, le brun se contentait simplement de s'appuyer contre sa portière avant de sortir son nouveau paquet de cigarettes de la poche de son épais bomber. 

-Je vais fumer avant partir, tu peux monter en voiture si tu as froid. -Il a parlé son pouce se relevant pour ouvrir le paquet. 

-Oh. -J'ai répondue. -Est-ce que je peux rester avec toi ? 

-Tu es déjà avec moi. -Il a pouffé amusé de ma stupide question, ses doigts sortant une cigarette de son paquet. 

-Oui mais je veux dire.. Est-ce que je peux rester à coté de toi pendant que tu fumes ? -J'ai timidement demandé.

J'avais cette soudaine envie de rester et partager chaque secondes avec lui pour profiter de cet agréable et réel Jungkook quand l'angoisse montait en moi effrayé qu'à la limite de Séoul, l'insupportable et détestable lui ne revienne me faire du mal et me tourmenter. J'avais littéralement peur de retourner à la maison comme si que cette sortie ne soit plus qu'un lointain souvenir quand nous nous mélangeront aux véhicules de Séoul. 

-Tu n'aimes pas la fumée de cigarette. -Il a continué en sortant son fidèle briquet. 

Portant sa cigarette à ses douces lèvres, son pouce glissait contre l'écrou de son briquait qui réveillait une infime flamme qui brûlait l'extrémité de son bâton de nicotine. Inhalant sur celle-ci, il relâchait l'écrou qui éteignait la flamme tandis que le bout de sa cigarette se calcinait à mesure qu'il inhalait. 

𝑨𝑫𝑶𝑵𝑰𝑺 • j.jkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant