𝐀𝐃𝐎𝐍𝐈𝐒 • 𝟎𝟓

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𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄 • 𝟎𝟓



Séoul, Demeure Adonis

Mardi 26 Octobre

19:00

Il est dit qu'il est possible de lire à travers quelqu'un en regardant seulement et seulement ses yeux. Les mentalistes, les magiciens, et pour terminer sur un aspect plus terre à terre les médecins spécialistes parviennent à comprendre les émotions et la vérité dans la dilatation de la pupille des autres. 

Et dans celle de Jungkook, je pouvais clairement y voir colère, mépris, jugement et méchanceté. Ses mains fermement fermés, ses phalanges recouverte d'un fin tissus blanc pour protéger les os de ses doigts  devenaient détendu à mesure qu'il frappait mon corps. 

A chaque coups donnés dans mes cotes, c'était comme revivre le passé. Le hacker ne s'arrêtait pas tandis que mes cris de douleur sous ses impactes me coupait petit à petit la respiration. 

-A-Arrête ! -J'ai parlé entre deux coups douloureuse et le souffle coupé. 

-Défends toi ! -Il s'est redressé ne s'arrêtant jamais de frapper.

Mon corps était brûlant, mes poumons à court d'oxygènes, ma peau luisante de sueur, et mes cheveux trempés de transpiration. Mes muscles hurlaient à la douleur tandis que mes yeux essayaient de se concentrer. 

La tête tournante, je fermais les paupières un instant. 

Sa grande figure en face de moi ne lâchait rien. Depuis plus d'une heure j'avais l'impression de me faire battre sans même pouvoir savoir me défendre.  

Dans un espace sportif de la grande demeure des mafieux, je me retrouvais contre un grand tapis dur d'art martial spécialisé pour le judos ou l'aïkido. Jungkook n'y allait pas de main morte et depuis bien des minutes, ses coups me frappaient sans relâches. J'étais certaines que des hématomes se formaient déjà.

Essoufflé, je portais ma main entouré d'un fin bandage au détendu que le sien à ma tête sonné. Mais dans un accès d'inattention, je ne vu pas le poing de Jungkook se diriger jusqu'à mon visage. Je n'ai pas eu le temps de me protéger ou même d'essayer de l'arrêter et le hacker visait volontairement mon visage. Violemment frappé, ma voix dans la douleur fit écho dans la grande pièce sportive avant de sentir sa jambe brutalement frapper les miennes pour me faire tomber hanche contre tapis. 

Tombant lourdement au sol, ma tête cognait contre l'épais tapis dur et fus une nouvelle fois sonnée. Puis de haut, je pu voir les yeux méprisant du mafieux. Habillé d'un bermuda de sport sombre et d'un t-shirt Fila noir, ses biceps musclés dont un entièrement tatoué luisaient eux aussi de transpiration. En fait tout de lui n'était que sueur luisante contre sa peau. 

𝑨𝑫𝑶𝑵𝑰𝑺 • j.jkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant