⚠️ 𝗘𝗡 𝗣𝗔𝗨𝗦𝗘
Il est dangereux. Il ne peut le contrôler.
Elle est si douce. Elle peut l'apaiser.
Ils viennent de deux mondes différents, lui trop brutal, elle si sage. Mais comme un yin et un yang l'un ne peut se compléter sans l'autre.
─ C...
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≡ 𝐂 𝐇 𝐀 𝐏 𝐈 𝐓 𝐑 𝐄 • 𝟑𝟎 ≡
Séoul, Demeure Adonis
Samedi 01 Fevrier
09:32
-Yah ! Yah Mera attend !! -Il a bougé sous ses couvertures.
-Vraiment désolé ! -Je me suis enfuis avant de claquer la porte de sa chambre.
Traversant le couloir à une vitesse folle, je claquais la porte de ma chambre derrière moi avant d'actionner le petit verrou de la poignée et me reposer contre celle-ci.
Ma main contre mon coeur, il y battait à une vitesse bien trop rapide de si bon matin. Pourquoi est-ce qu'il a fallu que je m'endormes juste à coté de son lit ? Je n'aurais pas du me laisser amadouer et lui tenir la main !
Lui tenir la main.
Mes doigts ressentant d'infimes petits fourmillements, la sensation de mon coeur battant encore trop vite résonnait dans mes oreilles tandis qu'une agréable sensation s'élevait dans mon ventre pour s'éprendre de mon muscle de vie quand je repensais à ses paroles saouls.
« Enlève la heeiin ! Attend que j'en trouve une plus jolie avec de vrais diamants. »
Non Mera ne commence pas, ne commence pas à faire ça il était bourré et complètement mort sous la drogue, il ne s'en souviendra pas de toute façon comment pourrait-il ?! Un pack entier de soju bu et surement deux clopes de cigarette mélangé au cannabis, non pas moyen qu'il puisse se souvenir de ce qu'il a dit ! Et quand bien même il s'en souviendrait...Il ne ferait rien.
Mon coeur et ce sentiment de légèreté qui l'entourait agréablement se calmait quand je parvenus à redescendre les pieds sur terre. Je ne peux pas penser comme ça, surtout pas avec lui.
Calmé de ce soudain réveil, je reportais ma main à mon verrou avant de déverrouiller ma chambre et ouvrir doucement ma porte. Passant mon visage dans le couloir, mes yeux se portaient à la chambre d'où je venais de sortir qui restait mortellement silencieuse et close.
Refermant derrière moi, je marchais rapidement dans le couloir avant de descendre au rez de chaussé avant de passer le salon. Mes iris se posant à la table basse, des images de la nuit dernière de nos deux figures assise à parler comme deux personnes qui ne se haïssaient pas se dessinait.
Puis au moment où j'ai pensé à « deux personnes qui ne se haïssaient pas », une nouvelle sensation de pulsion plus forte de mon coeurs à pulser jusque dans le bout de mes doigts. Secouant encore une fois la tête, il fallait que je me sorte ces idées et ces sensations au plus vite. Réveille toi Mera, réveille toi Mera, réveille toi tu ne peux pas !