capitolo primo

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    •Je suis tellement fatiguée. Il n'est que 21h30 et je fini seulement à 00h.
Je n'aime pas me plaindre alors que certaines personnes font des nuits blanches parfois même d'affilées pour leur travail. Tandis que moi je me lève à 5h30 et rentre chez moi vers 00h30.
Ce bar m'épuise bien que je ne suis qu'une serveuse. Comment font elles pour supporter ces gros pervers ?L'air de rien elles défilent devant et euurk je peux même pas imaginer.

Un gars: Signorina! Pourriez vous nous apporter trois bières? Vous seriez bien aimable.

Et c'est reparti, je me penche pour prendre les trois bières et des verres où je verse les liquide gazeux que contenaient les bouteilles.
Je prend mon plateau et me dirige vers eux, c'est tellement désagréable. Je ne m'y ferai jamais à la sensation d'être dévorée du regard de ces hommes plus ou moins âgées.
Je pose mon plateau sur leur table et leur donne ce qu'ils m'avaient demandé il n'y a seulement quelques secondes.

Un homme: Dit moi ,tu ne voudrais pas nous accompagner moi et mes compagnons? Nous pourrions bien nous amuser tous ensemble.

Lorsque l'homme parlait, deux mains se posèrent sur chacune de mes cuisses dénudées. L'une remontait vers le bas de mon dos et l'autre dans le creux de mon genoux.
Étant très mal à l'aise ,je me dégage de leur emprise en donnant un coup dans les deux bras me touchant.

T/p: Vous n'avez en aucun cas le droit de toucher une employée de cette manière ,vous devriez le savoir.

L'homme sur ma droite se lève et s'approche de moi. Une fois à ma hauteur il pose sa main sur le bas de mon dos et me serre contre lui.

L'homme : Bizzare on ne me l'avait jamais dit, tiens toi tranquille mia bella.

Je ne lui ai pas laissé finir sa phrase que mon plateau frappe sa joue.
Avant que ses amis ne se jettent sur moi je me précipite vers les vestiaires.
Je détache ma longue veste de fourrure synthétique du porte manteau.

Collègue : T/p? Est ce que tout vas bien?

T/p: Dit à Diego (nom inventé pour le chef) que je démissionne ,je lui rapporterai la tenue demain.

Sans perdre une minute de plus je sort par la porte arrière me menant dans une petite ruelle. Je sort une cigarette du paquet qui était dans ma poche depuis un moment.

T/p: Mince j'ai oublié mon briquet..

Je met ma cigarette à la bouche et referme la veste m'arrivant à mi cuisse à cause du froid que cette nuit nous apporte.
Un énorme poid me quitte, démissionner était la meilleure chose à faire au final.
Toute la pression que ce boulot me donnait était énorme.
Les larmes me montent aux yeux, me rappelant toutes ces scènes qui me sont arrivées auparavant.
Je marche jusqu'au bout de cette allée sombre qui débouche sur une rue bien plus fréquentée. Les commerces éclair la route alors que la lumière se reflète dans l'eau se trouvant à l'opposé de ceux ci.
Mes pleurs sont discrets pour ne pas attirer plus l'attention des personnes se trouvant autour de moi.
Des bougies sont disposées sur chacune des tables de terrasse d'un petit restaurant. N'ayant pas de quoi allumer ma cigarette je met le bout de celle ci dans les flammes d'une bougie puis en prend une bouffée.
Je m'assois en bord de la terrasse en attendant le Uber que je viens tout juste de "commander".

[…]00:45 Je tourne la poignée et entre dans mon appartement, la première chose que je fait c'est de me rendre dans la salle de bain. Je retire ces habits et me place sous le pommeau de douche.
L'eau brûlante glisse sur ma peau refroidi par les vents d'hiver auxquels je faisais face il n'y à encor que quelques minutes.
Ça fait tellement de bien. Je sors ,une serviette autour de mon corps allant vers ma chambre pour pouvoir me mettre dans une tenue plus confortable. C'est à dire un vieux legging et un t-shirt oversize.
Le moment que j'attendais tant arrive enfin, je m'allonge en étoile dans mon lit et regarde le plafond.

T/p: Si seulement j'avais pu fair le métier de mon choix je n'en serai pas là..

La musique tourne en boucle dans mes écouteurs que j'avais mis entre temps.
À force de fixer le plafond et de remettre ma vie en question je fini par m'endormir profondément.

[…]8h30
Mes yeux s'entre ouvre légèrement. C'est le vide total dans ma tête jusqu'au moment où j'apperçois l'heur sur mon réveil posé au bord d'une des tables de nuit.

T/p: Oh bordel! J'ai 2h30 de retard!?

Je me lève en vitesse et cours dans tous mon appartement pour récupérer des affaires par ci par là.
Après 10min je sors ,refermant la porte derrière moi. Je retourne au bar à pied pour déposer la tenue dans laquelle je m'étais enfuie la veille. Je reprend ma voiture au passage.
Le stresse monte en moi ,que va me dire mon patron lorsqu'il me verra arriver à cette heure aussi tardive ?

Je me gare et sort du véhicule. Ma démarche est étrange ,je tremble ,mes pas ne sont pas droit et on à l'impression que je vais pleurer déjà qu'il sont rouge à cause d'hier..
Je traverse la terrasse en passant à côté d'un jeûne homme au style particulier. Je pousse la porte d'entrée et essaye de ne pas me fair remarquer. J'ai de la chance ,mon patron n'a pas l'air d'être présent. Je me met vite en tenue et attend que des clients fassent surface. Ce café est le seul boulot qui peux me permettre de vivre à présent.

Un homme furieux entre dans le café et viens me voir. En poussant la porte il crie mon prénom.

Laurent (prénom inventé pour le gérant du café): T/P!!

Ethan x reader [Måneskin]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant