Hanakotoba (Langage des fleurs)

Violette (Sumire)

Je nous vois un soir, après un repas livré minutieusement choisi, léger et adoré, éclairé à la bougie parfumée et au led rouge à sa puissance maximum, des musiques fantastiques en fond.
On s'embrasse amoureusement, se câliner, et .. se caresser, tu glisses ta main dans mon pantalon pensent prendre le dessus sur la situation alors que...

Je me mets au pied du canapé, enlève ton pantalon, prenant avec lui ta délicieuse culotte d'ensemble en dentelle noire à nœud, spécialement prise pour moi.
J'écarte tes cuisses, les pose sur mes épaules et plonge ma tête, tu noies tes doigts dans mes cheveux sous le plaisir et la frustration, je pivote, plonge, aspire, tourne autour et passe dessus, bref, je fais danser ma langue te laissant assez peu de conscience pour te rendre compte que tu as déjà perdu l'ascendant...

Tu dégoulines le long de ma barbe, mon cou jusqu'à mes clavicule, pour finir par imbiber le tissus du canapé, après avoir délicieusement accepter tes supplices j'arrête, j'avale et essuie ma bouche en te souriant, tu me répond « J'en peux plus... » sans attendre, d'un faux regard compatissant... Je te retourne, genoux au bord du canapé, je sors de sous un coussin un lubrifiant tout en disant « oups.. » pour appuyer le fait que depuis le début mon plan se déroule à merveille ~
J'enduis ma main, glisse du bas de ton dos jusqu'à l'entrée de tes fesses, mon autre main glisse jusqu'à ta gorge et je te chuchote « C'est que le début... Il va falloir tenir bon ~ » et rigole sadiquement en enfonçant mon doigt entre tes fesses délicieuses, tu mords le coussin d'un gémissement semi agacé de mon emprise si aisée sur toi~

Mon doigt s'accompagne d'un autre au fil du temps que ton corps se détend, je saupoudre tes gémissements de mots doux réconfortant pour t'aider à te sentir à l'aise, de baiser chaud sur tes fesses et de temps en temps de petites morsures ~

Sans te laisser le temps de penser, je retire mes doigts et plaque ma queue bouillante et dur contre et vient ajouter du lubrifiant gelé, qui au contact de ta peau te fais frissonner.. aussi délicieux soit-il je viens briser cet instant en enfonçant ma queue par-derrière pousser délicatement et lentement par mes deux doigts, cette sensation étrange te fais mordre les coussins et t'agripper au dossier du canapé, chaque centimètre,  chaque veine s'enfonçant en toi, dans ton corps brûlant, serré et doux nous précipite dans une transe particulière ~ certes ce qu'on fait est particulier, et le plaisir, bizarre mais intense nous pousse à continuer.. voir accentuer ~

Une fois au fond je commence les vas et viens tout en glissant mes doigts sur ton entre-jambe, l'autre main claquant tes fesses à l'allure de mon dirty talk, tu es ma slutty babe ce soir et je compte bien te gâter de coups de reins

Au rythme des battements de mon cœur et de l'intensité du plaisir, j'accentue les vas et viens, mes gémissements ce mêlent au tiens.
Je lâche ton entrejambe, pour saisir brutalement ta nuque, et te forcer à t'empaler et repartir sur ma queue, de faire de toi mon jouet, ma chose.. comme tu aimes être traitée dans ce genre de moment..

Tu tape sur mon avant bras du peux de force qu'il te reste pour faire comprendre que tu n'en peux plu, le plaisir est trop intense, clément et passionné je m'exécute à finir~ je m'enfonce au plus profond, glisse mon torse contre ton dos, mord ton oreille, t'enlace amoureusement et commence à buriner du bassin, l'univers tremble à tes yeux et tu es piégée de toute part, tu crie de plaisir alors que moi je te mord pour faire face à la pression qui monte jusqu'à ralentir la cadence et te laisser sous mon souffle couper le plaisir de sentir en toi ton intérieur de remplir et bouillir, nos corps suintants, nos bouches allaitantes, tes jambes tremblantes, je me retire lentement, te caressant comme par crainte de t'abîmer, contrastant la violence de l'ébat.
Une fois sorti, j'embrasse tes fesses rouges puis tes cuisses branlantes, te laissant dégouliner de ma sève.

Pour conclure, je t'aide à te poser confortablement et te sers avec mes dernières forces dans les jambes un verre d'eau frais, te couvrant d'un petit plaid, puis en te rejoignant pour te couvrir le front de petits bisous, regardant mutuellement la flamme d'une des bougies, se consumer comme l'ardeur de notre amour, monopolisant notre attention, nous mettant face à la réflexion posée du .. « woah.. il s'est vraiment passé ca.. c'était incroyable » marquant un sourire en coin gêné à chacun et une passion semblable au reflet de la flamme dans la  prunelle de nos yeux.