Hanakotoba (Langage des fleurs)

Amaryllis (Amaririsu)

J'ai repris ton idée « hôtel » que je trouvais rigolo mais super entreprenant de ta part... Je me suis ensuite imaginé partir vers la chambre, en prenant ta main, toute timide et t'amener avec moi... Ouvrir la porte en regardant de droite à gauche, tout en admirant ton sourire qui voulait tout dire,

Je te fait rentrer dans la pièce, ferme la porte a clé derrière nous. Pendant que tu regarde la chambre en détail, je viens te plaquer au mur tout en glissant ma main derrière ta tête pour éviter de te faire mal tout en commençant à baiser ton cou, silencieusement mais avec passion, puis doucement remonter jusqu'au dessous de ton oreille du bout de la langue tout en glissant mes mains sous ton t shirt en les glissant jusqu'à tes hanches
Mes mains brûlantes sur ta peau frissonnante, j'entend ta respiration inhabituelle ce couper par d'intenses morsures de lèvres... Je te glisse de nombreux mots doux, tout en plongeant mes yeux dans les tiens, remontant mes mains jusqu'à ta poitrine, je pince délicatement par dessus la dentelle de ton haut, sentant durcir tes seins tout en me dirigeant vers tes lèvres.
Je t'embrasse et redonne vie à tes lèvres séchés par ta respiration allaitante, tu essaie de suivre la cadence de mes baisers en reprenant tes esprits égarés, une fois revenue sur terre, j'enlève ton haut avec délicatesse et tombe sur un corps somptueux, une peau éclatante, un buste qui ce gonfle d'air et de désir, une peau hérissé d'envie

Après avoir jeté ton haut puis le miens, je viens dégrafer ce qui sépare ma peau d'être coller à la tienne, je le lance et t'enlace pour te rassurer, t'apaiser et me préparer à une partie plus.. intense

Je retourne m'enfouir sur ton cou en partant de ta mâchoire jusqu'à ton buste si joliment dessiner par la lumière tamisée des rideaux fermés. Je serpente ma langue jusqu'à tes seins, les titillants avec agilité tout en caressant ton dos du bout de mes doigts jusqu'a tes fesses, une fois arrivé, je glisse le long de ta ceinture, pour la déboucler, elle est fine ce qui me permet de la séparer de ton pantalon sans soucis, tout en continuant mon petit jeu de langue.

Je te mordille, tout en glissant ton pantalon le long de tes courbes avec mes pouces, d'une douceur similaire à celle d'une œuvre qu'on mettrait au grand jour. Je te sens stressée légèrement, je poses mes pouces sur tes joues et me relève pour te regarder d'une façon si sincère et passionné accompagné d'un sourire en coin si comblé que tout tes maux deviennent un bénin souvenir..
Je te dit « Tout ce qui ce passera, sera intense et te feras réagir comme jamais, n'ai pas peur, tout est normal, assume le, crie le si besoin, prend du plaisir. C'est ton moment »
Sur la dernière syllabe je m'agenouille tout en faisant glisser ta dentelle soigneusement choisi d'un petit noeud satiné, la laissant tomber sur tes pieds.
De pouce j'écarte légèrement ta cuisses droite pour y plonger ma langue couverte d'une salive épaisse, la sensation intense et instantané te fais te recroqueviller, a t'en reprendre sur mes épaules avec tes mains, un son fluet sortant de ta bouche.
Je pu découvrir avec bonne surprise que là où j'avais plongé était déjà bien humide, avec passion je m'acharne sur des vas et viens de langue me collant plus profond et au plus près de mon but , tu te relève et de cambre mais reste en appuie préventif sur ma tête, voir me papouille pour t'aider a supporter l'intensité.
Tu sens ton plaisir dégouliner sur tes cuisses, laissant un tracé qui ce rafraîchit sous les sursaut tes sursaut.
Tu me demanderas à bout de souffle d'arrêter, c'est super, tu adore ça, mais ça devient insupportable pour toi, mon visage penaud et satisfait ce permet de te proposer avec très peu de délicatesse « Tu veux.. la suite ? » trop timide pour répondre et hébétée de ma satisfaction tu hoche la tête
Tremblotante tu suis le guidage de mon bras qui t'emporte par les hanches pour te coucher sur le lit, ton corps nu, froid à cause du mur ce caresse aux draps propre et frais d'un lit bien fait.
Je monte au dessus de toi et écarte tes jambes qui cache ce que tu n'aimes pas dévoiler si facilement, encore dégoulinante et scintillante.
Une main sur ta joue pour te caresser, je te dis à quel point tu es somptueuse, laissant ton visage rougir et ce dénoter de ton corps nu. Profitant du moment d'égarement causer grâce à mes mots je rentre en toi avec douceur, jusqu'au bout. Le monde c'est arrêté pour toi, c'est si bon, troublant et indescriptible. Ça prend le creux de tes reins comme une passion et te saisi le coeur.
Je décale avec délicatesse ta cuisse pour venir m'accouder près de toi, glisser mes mains derrière ta nuque pour te saisir, t'embrasser et commencer lentement mes allez retour ~
Tu serres les dents, tu tires les draps, trop gênée pour crier, inapte à supporter, tu perds les mots et le sens de la réalité, tu m'embrasse puis lâches mes lèvres pour chercher ou voir, comment tu pourrais mieux respirer. Bref, comment supporter ce plaisir qui t'animes. Tu aime, tu adore, c'est indescriptible mais tu commence enfin à te laisser aller, à gémir, c'est fluet, mais adorable et sincère.
Parce-que je suis vilain et que j'adore la mélodie de te voix, je lache ta nuque pour venir mettre tes genoux au niveaux de ta tête, cet axe me permet d'aller plus loin, plus vite, plus fort. Te faisant sentir chaque parcelle de ma peau frotter contre la tienne
Pour moi aussi au bout d'un moment ça devient trop intense, nos fluides, la chaleur pesante, l'essoufflement et tes bruits.. m'affaiblisse, je gemis doucement dans ton oreille en la mordillant. Sentant le moment venir, je relève la tête haute, prend la bouffé d'air la plus fraîche et commence à faire claquer de pleins fouet mes hanches contre tes cuisses, les faisant rougir. Me sentant jouir mon gémissement ce mêle d'une morsure de passion sur ton mollet, pendant que la sensation de ma queue ce déversant d'amour ardent pour notre ébat d'extase d'une manière si brute que tu essaies d'étouffer par tout les moyens le crie le plus aiguë et incontrôlable de plaisir dans un coussin.

C'est fini. Enfin, tout tes sens reviennent, la sueur de ton corps te laisse sentir le froid de la pièce, la vue te semble nette après avoir reposer le coussin, l'odeur de nos corps entrelacés et épuisés te monte au nez, et le goût de ta salive séchée par tes cris et le son plat remplaçant le carnage de l'ébat vient brouillonner tes oreilles.

Après une interminable minute, je te demande si tout vas bien, si tu veux de l'eau, ou quelque chose pour te couvrir, mais l'idée me vient de te proposer une douche, tu accepte et me suis, toute perlée de sueurs et tremblotante d'épuisement, là douche sera longue, calme, silencieuse. Comme un câlin réconfortant, embellie de petits baisers, de caresse et d'admiration. La journée ce terminera sur des rires, des blagues et des discutions amusante, comme si rien ne c'était passé mais où chaque regard qui ce croise, résonne nos gémissement de plaisir.