Hanakotoba (Langage des fleurs)

Myosotis (Wasurenagusa)

L'odeur est fruitée et passionnante, la température humide brûlante de la douche quand je frotte ton corps délicatement pour enlever le savon de ton corps et dévoiler une peau étincelante et tes courbes excitantes. Tu te colles à moi pour que je rince l'avant de ton corps, de ta taille plus petite que la mienne j'apprécie la vue et je durcis, logé entre tes fesses je sens que tu te remues, je garde mon sang froid et continue ma tâche, tu attrapes ma main timidement pour la glisser entre tes jambes, ma quête change : je caresse ta fleur de ma main droite par dessus ton épaule et continue de laver ton buste de la main gauche. Le plaisir monte rapidement, l'eau s'écoule le long de ton dos jusqu'à mon bassin, tu gémis et ton corps se remue contre moi. Mon souffle s'accélère, je sens au fond de moi que mon calme va bientôt exploser, la chaleur de l'acte, de l'eau et de ton corps fais sortir les veines de mes mains, de mes bras et de mon membre. Je baise ta nuque et de mon pied gauche dégage les gels douches de la marche devant nous. Après quelques minutes tu n'arrives plus à retenir tes cris et ta peur d'être entendue t'obsède. Tes jambes tremblantes, tes lèvres mordues et ta main qui griffe mon bras achevé par mon souffle devenu bestiale, me font passer à autre chose.
Je te pousse sur la marche pour te mettre à ma hauteur, parmi mes shampoings se cache une bouteille de lubrifian, et pour ne pas changer la note fruité qui embaume la pièce, la bouteille est à la cerise et violette. J'en glisse entre tes fesses ainsi que sur moi, tes ongles s'accrochent aux rainures du carrelage, la panique te prend légèrement mais tout s'atténue sous mes mots délicieux et mes baisers sur ta peau. J'écarte ta fesse, me prend en main, je rentre légèrement. Ton corps se crispe mais ton désir est plus fort et le plaisir de la sentir t'aguiche au plus haut point. D'un "je t'aime" assuré j'y rentre le plus gros, quelque seconde ensuite j'y suis et le mouvement s'élance ! Vilain que je suis, être en toi ne suffit pas, ma main droite saisi ton sein et la gauche retourne te caresser en bas. Totalement éprise par moi, l'eau semble tiède par rapport à la chaleur de notre acte. Je ressens un plaisir immense et particulier : un plaisir à en couper le souffle, au sens propre du terme.
Tes cris résonnent dans la pièce. Pour conserver notre instant je met ma main immense sur ta bouche, soumise à mes tortures et arquée du dos, je laisse mon bassin claquer contre toi, m'agrippant à ta mâchoire, tu cris, tu trembles, je dois arrêter mes caresses pour t'enlacer par le ventre pour te porter et te tenir car tes jambes sont trop fébriles et mon désir animal brutal.
Mes coups sont plus lents mais profonds, pour en finir je t'empoigne le cou et joui en toi. Le plaisir te pousse dans une perte d'équilibre pour supporter l'orgasme, je te porte d'un bras pour achever mes derniers coups et déverser mes dernières vagues de sève.
Je te porte jusqu'à ce que tu prennes connaissance et équilibre, je te laisse seule sous la douche pour te relaver pendant que je me rase tout souriant. Fier de mes ébats, perdant toute mon animosité pour un sourire fier et satisfait. Je t'attend, la serviette à la main, pour prendre soin de toi blottit contre moi.