Edelweiss (Ēderuwaisu)

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Tu as pour habitude de venir me voir au bureau pour une raison bien précise, d'habitude c'est pour le travail, tu restes la patronne d'une compagnie concurrente à la mienne, mais cette fois le domaine de notre échange était totalement différent.

Tu étais assise sur la chaise face à mon bureau vernis, les volets entre fermés laissant une légère lumière tamisée, la porte fermée à clé, et la température parfaite, je me souviens d'une chose c'est ton regard paniqué, à cause de ton corps hors de contrôle, tes mains tremblante ton seul désir ? Être assouvie, sans avoir à l'entendre je comprend ce que tu désires, et mon coeur s'emballe, j'engage l'échange sans réfléchir.

Je me lève et t'attrape par le menton, te relève et t'embrasse, je te pose sur mon bureau et laisse tes mains me caresser, on respire fort, et vite, tu commences à caresser entre mes jambes et un un déclic viens, je relève tes mains sors une paire de menottes de ma poche et t'attache, surprise et séduite par mon sourire tu te laisses faire, tu commences à poser des questions je te bâillonne sans te laisser un avis, tu sembles contrariée mais ton corps frémis d'envie, je prend un temps pour t'attacher avec de la corde, nous avons tout le temps qu'il faut, le buste , le bassin , les bras les mains les cuisses et les pieds, laissant tes jambes séparées évidement , puis je te porte et te prend au milieux de mon bureau.

La chaleur se fait sentir mais c'est un début, j'allume une bougie puis te baise la joue, troublée et démunie , ta peau emplie de frissons la corde qui te restrain,
Je découpe aux ciseaux tes vêtement entre la corde puis jete les lambeaux par terre, "tu es bien plus séduisante ainsi crois moi,
Passons à la suite des choses."
Je pars chercher la bougie et crée un chemin de gouttes sur ton dos jusqu'à tes fesses tout en empoignant ton cou, tu gémis et te débat mais c'est inutile , je croise ton regard , tes yeux brilles, l'amour fou dans tes yeux me charment, je décide de te récompenser, je pose la bougie en attendant qu'elle fonde, de mes pouces j'écarte tes fesses et glisse ma langue entre tes jambes , tu remues les pieds et gémis, de la bave coule de ton bâillon autant que la mienne coule d'entre tes jambes, au bout de dix minutes je prend la bougie et trace des routes sur ton corps,

Je décide de te porter et te poser sur mon bureau , sur le ventre, toujours attachée, la nuit tombe et les gens partent, j'enlève ton bâillon imbibé de bave et tu me supplies de continuer ton corps est humide et brûlant, sans attendre je plaque mes deux avant bras sur ton dos et met deux doigts dans ta bouche pour m'assurer de t'entendre et je m'enfonce en toi, tu mordilles mes doigts de plaisir, elle est dure et brûlante vivant du même désir que le tien, a un moment quelqu'un toque, je met ma main sur ta bouche pour assurer que personne n'entende mais je continue des coups lents et profonds en toi, t'obligeant à ressentir chaque frottement de plaisir tu lèves les yeux au ciel, c'est insoutenable pour toi, j'esquisse un sourire pervers , la personne part enfin alors je cogne en toi à en faire tomber mes affaires de mon bureau, arrivé à mon terme, je te met sur le dos, les jambes replier au maximum j'embrasse ma main pour l'amener jusqu'à tes lèvres , je saisis tes jambes fermement et je cogne à toute force pour jouir en toi, le plaisir est tel que je te mord la cuisse, tu crie et tu te mord les lèvres, tu lèves les yeux au ciel prête à faire un malaise.. mais je te caresse pour te garder à la raison, je me retire et je me pose sur toi, te prend dans mes bras pour admirer le silence.

Je te détache enfin tu perds tes derniers bouts de vêtement et j'admire les marques rouges de corde , délicieux, la pièce est humide et chaude, quasiment irrespirable, je te couvre de mon gros manteau , comme deux enfants en cours on rase les murs en rigolant, espérant ne croiser personne et on cours jusqu'à ma voiture, on papote quelque minutes sur le trajet jusque chez toi, la pluie tombe sur le parbrise mais rien n'importe , arrivés en bas de chez toi je te dis que je t'aime et tu partages mon amour d'un sourire, d'un baiser et un léger "moi aussi". Tu cours jusqu'à ta porte avec mon manteau, j'attend que tu rentres et je démarre jusqu'à chez moi le sourire aux lèvres sous le son délicieux pluie embelli par la lune, une bonne journée de travail.

Graver dans ton coeur l'amour que je te porte,
Produire ton sourire grâce au ébats de cette nuit,
Depuis ce jour notre union est plus forte,
A jamais cette soirée marquera nos vie.

Hanakotoba (Langage des fleurs) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant