Hanakotoba (Langage des fleurs)

Fleur de cerisier (Sakura)

J'étais venu chercher chez toi mon armure et ma flamberge, un dimanche ensoleillé, des rayons apaisants, une osmose de calme et de bien être. Je m'étais remis de ma blessure et nous discutions devant un thé face à la fenêtre. Je te montrais les détails de mon épée, les feuilles de la garde, les tiges du manche et la tête de fleur du pommeau. La discution était douce mais une situation sous-pesait... Impossible de croiser nos regard, comme si un coup de foudre pouvait éprendre toute la passion et l'ardeur de nos désirs inavoués. Pour te parler je joue avec un carré de sucre, et sur un faux mouvement, le sucre s'apprête à tomber. Par réflexe on le rattrape en même temps et nos mains se touchent, nos regard se plongent dans une étreinte, le monde n'existe plus, seule la chaleur des rayons sur la peau et le chant des oiseaux résident dans nos sens. À l'admiration de ton regard divin et l'allure de tes lèvres délicieuses, mon coeur s'emballe, il cogne son hardiesse et à la vue de tes joues rouges et de ton silence, je comprend sans gêne que tu vis la même chose: le coup de foudre a eu lieu, le courant passe entre nous, la machine est lancée. Aucun moyen de faire marche arrière.. Je glisse ma main sur ta joue et t'embrasse, la fraîcheur de tes lèvres et l'odeur délicate de ta peau m'offrent un avant goût d'un paradis véritable, je n'ai envie d'être nulle par ailleurs qu'ici contre toi. Impossible de décoller tes lèvres, tu t'accroches à moi et la chaleur monte, difficile d'aviser sous le charme d'une femme pareil.. pour reprendre tête j'embrasse ton cou, erreur fatale, te voilà entièrement hors de toi. Tu te lèves pour t'asseoir sur moi, ta robe courte cache l'étreinte érotique de nos deux corps. Je ne comprend pas, comment une fille aussi belle, douce et séduisante peut-elle m'offrir un instant aussi divin... mais je ne vais pas rester là à réfléchir, il est temps d'agir. Ta robe et resserrée d'un ruban au niveau du buste pour cacher ta poitrine tout en laissant une part de Mystère. Je saisis ta poitrine de ma main droite et plonge ma tête entre pour cacher mon visage enjoué et rouge tout en profitant pour mordre le ruban afin de te délester de ta dite robe. La chaleur s'amplifie, au point où la chaleur du soleil devient bénigne sur notre peau. Ta poitrine au jour, j'en tombe amoureux, une peau si délicieuse, un buste digne d'une statue d'artiste. Je parcours tes courbes de ma langue percée créant frissons et désirs, te poussant à redoubler d'efforts sur tes frottements de bassins tout en empoignant mes cheveux de plaisir. Après un temps, je décide de changer les rôles, je vais céder à tes pulsions il faut terminer en beauté. Toujours en toi, je te pose sur la table, saisi ta cuisse droite sur mon bras, ta nuque avec ma main gauche, te baise le cou et annonce un mouvement fort, rapide et profond, tes sons se coupent, dans le bon sens du terme mon action te semble insupportable, j'accélère jusqu'à douter de te voir consciente , tu me griffes, pour supporter et je décide, de calmer l'allure histoire que tu puisses respirer et reprendre conscience mais à la seconde même où tu reprends une bouchée d'air frais j'enchaîne avec des mouvements bien plus puissants, une feinte inattendue, tout ce que j'aime... Je me sens venir en toi, et mes légers gémissements arrivent à ton oreille, tu me mords le cou pour supporter. Des affaires tombent le long de ta table et mon amour se se déverse avec le tien, un silence brouillé par des souffles puissants, mais apaisées par l'arrêt des cris des cognement de la vaisselle qui grincent et tombent. Je me retire et te porte jusqu'à ton lit, le froid prend sur nos peau perlée de sueur, je te dépose, te couvre légèrement et je repars te prendre de l'eau. J'en profite pour ranger les dégâts et prendre nos affaires, je me pose avec toi et caresse tes cheveux, le regard comblé d'un amour satisfait, admirant chacune des parcelles de ton doux visage, qui plus tôt dans la journée , était impossible à faire face. Le reste de la journée se passa normalement tu repris tes esprits et le contrôle de tes jambes, une journée achevée dans les câlins et caresses dans une journée mémorable et assurément incomparable.