Chapitre 5

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Salut, salut !

Je m'excuse d'interrompre votre lecture mais je voulais vous remercier. Merci de lire cette histoire dans laquelle je met du temps.
Merci de m'accorder votre temps. Merci d'y laisser ces gentils messages. Merci d'y laisser ces critiques constructives.

Merci.

Et aussi, je sais que depuis l'interaction avec Izuku n'est pas présente. Mais tout ce j'écris est important. Je me dois toutes ces flashs et autres faits à la vie de T/p pour que vous compreniez.

Je sais que c'est long. Mais il le faut.
Je sais que vous voulez autre chose.
Je sais que certains partiront leurs patiences à bouts. Mais restez. Lisez. Et comprenez.

Je vous demande de patienter.
Merci encore à vous d'avoir lu ceci.
Merci.

Henni:)
























C'était également une habitude.


~ • ~

Huit ans, avant.
Cinq ans.

Le noir.
Tu n'aimais pas.

Quel enfant aimait l'obscurité ?
Les monstres cachés, les ombres effrayantes, sentir des choses te toucher sans voir, te chuchoter des choses à l'oreille sans voir.

Tu n'aimais pas, mais supportais.
Une chose de ta vie.

Le sac sur ta tête multipliant ses désagréables sensations décuplées par la peur, les échardes piquant tes fesses, les cordes te retenant du vent en colère qui avait pour souhait t'emporter. Tout coupant ta circulation sanguine.

Une soirée que tu n'oublierais jamais.

Il t'aveuglait ce noir.
Où étais-tu ?

Ignorante à toute information, les hurlements du bois renforçaient ton insécurité. Sans manger, ni dormir, le froid glaçant chaque centimètre de ta chair, tu te sentais partir.

" Laissez moi sortir ! " Tu as hurlé, ta tête retombant de suite de fatigue forçant tes liens inutilement.

Une enfant de cinq ans, criant à ce que l'on lui rende sa liberté. Qui l'écouterait ?

" S'il vous plaît..." Tu as chuchoté en sanglots, dans ce dépotoir. Sentant le cadavre, sentant... La mort. Tu demandais ne pas être seule de tout ton cœur.

Soudainement, le cri aigu de la porte attisa tes oreilles rouillées dû aux manques d'hygiène, tes jambes s'agitaient instinctivement touchées par l'aura dangereuse, s'approchant lentement.

Ton rythme cardiaque trop élevé te conduirais à l'hôpital, d'une hausse de tension inquiétante et inhabituelle s'il ne diminuait.

Mais... Qui aurait pu.. Non, voulu, t'emmener aux urgences médicinales ? Personne. Ton cœur, était la dernière chose importante. Pour eux.

" Que se passe-t-il... Hein ? Ma T/p chérie... " T'enlevas ce sac d'un vent frais et nauséabond une voix suave.

Tes yeux s'horrifiaient, l'oxygène se coupait, tes membres s'arrêtaient, ta vue se troublait. À cet être devant toi.

Tout compte fait, tu aurais voulu rester seule.

~ • ~

Écouter de la musique sans cesse n'était recommandé par personne. Puis toi têtues, tu finis par attraper un mal de tête.

𝒴𝑜𝓊𝓇 𝓈𝓂𝒾𝓁𝑒                                          [ Izuku x reader ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant