" On rentre.. Même temps ? " Il t'as interrogé sous pression de s'écrouler d'une minute à l'autre. " B-Bien sûr, si tu ne veux pas ne te force pas ! J-Je ne veu-"" Ok. " Tu l'as coupé, ne voyant pas pourquoi refuser. " Mais avant... Je dois voir quelqu'un. Tu peux m'attendre ? "
~ • ~
Un jour et demi, avant.
Tu avais froid.
Très froid.Au point de dépister certaines parties ciblées de ton squelette, t'exhiber l'âpre sensation de toucher le feu. Le froid s'ânonnait à te calciner.
Itou, ces murs à tes proximités t'étaient invraisemblablement réelles, mais leurs inefficacités à la fraîcheur glaciale, te renvoyait qu'eux n'étaient que de vulgaires illusions en papier mâchés. Autant te laisser à l'air libre, dans ces conditions.
Le froid n'était bloqué.
Dans un soupir qui congelait ta cage thoracique, tu t'accaparais le fait qu'enduré ceci n'était que pour une unique cause : ta fuite. Alors maintenir ton nez aussi liquide que cascades tropicales, n'était utopique.
Disparaître dix minutes avant qu'ils ne s'en rendent compte, t'étais impératif.
Juste assez de temps.
Seulement, dix minutes." Je dois faire vite. " Tu as pensé navigant à ton rythme saccadé tes paumes de tes pieds adaptées au sol fructueux. Une « remise en question » t'assomma, toi et tes bouts doigtés bleus :
Comment cet oxygène pouvait-il être si nauséabond ? Perdraient-ils leurs cœurs à fenêtre pour aérer ? Remplaçant, cette senteur indescriptibles.
Enfin s'ils en avaient un. De cœur...
Moins, futiles cette fois-ci.
Pourquoi en ces étroits tunnels éloignés de ce que tu nommais « les grands bureaux » où se ressemblaient tes c*nnards de kidnappeurs et, là où tu devinais l'emplacement des espaces surveillance visuels à quelques mètres :
Aucune vie ne se manifestait.
L'oxygène insupportable à tes poumons asséchant ta salive, tu t'entendais respirer par ce silence de mort. Les mouches elles-mêmes n'étaient.
Ni gardes, ni sous-fifres... Même pas d'animaux domestiques !
Ça te perturbait.
Tu ne comprenais pas.Ils te pensaient vraiment faible ?
Non.
De plus, tu ne l'étais absolument pas, alors quoi ?Un souvenir, incontrôlable te prit instantanément de cet énergumène accentué d'une senteur atmosphérique de déjà vu.
La rage te monta au ventre, ses mots en tête.
L'air te rappela sa cupidité à t'insulter et te prendre de haut les menottes aux poignets.Tu avais cette sensation de torsion au niveau de tes intestins. Autrefois, le stress aurait pu être la cause de ces ressentit désagréable mais après en...
Juste un sentiment pouvait te faire cette douleur.
La rage.
La colère.Elle grandissait en toi, chaque instant. Leurs visages, leurs voix... Le fait même qu'ils respirent le même oxygène que toi.
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𝒴𝑜𝓊𝓇 𝓈𝓂𝒾𝓁𝑒 [ Izuku x reader ]
FanfictionEN PAUSE À force, d'être fausse la conscience humaine s'appropriait cela en tant que vérité. Elle ne savait même pas qu'il était une contrefaçon... 𝔖𝔬𝔫 𝔰𝔬𝔲𝔯𝔦𝔯𝔢. La joie n'étant en son cœur, sa figure une toile inexpressive. Si vous le dem...