𝒴𝑜𝓊𝓇 𝓈𝓂𝒾𝓁𝑒 [ Izuku x reader ]

Chapitre 9

Merci d'avoir continué votre lecture <3
Henni:)

" Huh ?! T/p ? Q-Qui est cet homme ? " A demandé le vert, yeux écartés par sa démarche atypique, et ses lunettes de soleil extravagant.

" Je le connais c'est bon... MAIS BORDEL QU'EST-CE QUE TU FOUS LÀ ?!! " Tu as fini par gu*uler.

" Ma T/p chérie~ Contente de me revoir ?" Il a joué ses sourcils, orientés de ciel à terre sous ta frimousse à une mèche de le faire cuire.

" Que fait-il ici ? "

" Akira, réponds moi. " Tu as démobilisé son biceps frottant ta nuque fragile.

Effarement Akira ne connaissait ta posture. Ta situation. Communication emprisonnée par les soit disant « précautions » des fédéraux à sa pensée lors de ta première rencontre avec lui,

Il pensait tout réglé.

Belle blague ! Même joker aurait rigolé assis à tant d'aveuglement. Ta rencontre avec lui datait de maintenant neufs ans, les « mesures » anticipées des policiers étaient tangible pour lui, en addition : tu n'étais plus intimidée.

Bobards.

Si tu pouvais, ils séjourneraient à temps plein en hôpital.

" J'ai fini plus tôt au cabinet, et toi alors ? Et « Bonjour ! » À qui ai-je l'honneur ? " Un sourire aberrant se fit au contraire de la face en sueur de ton camarade analogue bonhomme de neige à soleil.

Tes yeux roulèrent manquant de se coincer. La superbe technique « voix grave » d'Akira afin d'intimider la population qu'il trouvait proche de toi.

" Oh non, il ne va pas faire ça quand même ? " Tu as pensé exaspérée.

Affaires classées secrètes, tous n'avaient le privilège de connaître ton « histoire ». Et lui ne bénéficiait plus de l'accréditation d'être renseigné depuis belle lurette.

Fardeau dans certaines revues de ta vie, tu étais plutôt bonne menteuse.

Quand tu le voulais.

" C'est mon ami ! " Tes bras se sont allongés à la figure du jeune.

" Je l'ai accompagné pour récupérer certaines affaires, hein Modiriya ?! " Tu as grossièrement insisté sur la fin de tes syllabes.

Sa perplexité éclairerait l'œil d'un aveugle.
Sa figure n'exprimant que gêne, stresse, ainsi qu'incompréhension ton rythme pulmonaire chutait.

Prédire sa réponse t'étais infaisable.
Bouche entrouverte, tu lui jetais un dernier regard.

Ses iris étaient d'une nuance étrange, figure que tu ne montrais jamais en cette demi-journée de rencontre il n'arrivait à voir la couleur de tes yeux...

Une anxiété rongeuse.

Un ballottement via ton incertitude à chaque fibre musculaire de ton corps te rédigeant d'innommable effleurement tirant ta bouffée à sa limite, sans réflexion sur ton état.

Il la vit.
Cette doléance.
Tu ne pouvais cacher tes expressions comme à ton habitude.

Non. Tout te trahissait.

Ton rythme cardiaque, ta sueur, tes tremblements... Tes yeux. Tout.

Ton inhalation bâfrée les consonnes qu'il certifia par bégaiement de sa personne incertaine rouge t'eus sauvée :

" O-Oui. Oui, Monsieur... Je suis... Je suis son ami."

La main qui eut fait poids à ta cage thoracique se dissipait, t'offrant l'air pure que tu avais oublié d'ingurgiter.