Hélas, cette perception quittait les lieux quand ton téléphone vibra, affichant son nom." Akira."
À cette vue, tu te stoppais. Tu le savais. Ce n'était jamais porteur de bonne nouvelle. Traditionnellement, sa signature assurait pour toi un nouveau billet de famille d'accueil ainsi qu'une réunion répétitive, sérieusement lassante auprès des autorités te reconnaissant à ton timbre de voix désormais habitués à te voir.
Par-dessus tout, tu faisais presque partie du service de nuit, si la réunion se déroulait le jour, la discrétion prenait possession de ton corps gardant les enfants en salle d'attente privée attendant leurs parents.
Bien sûr des enfants de plus de huit ans. Tu étais une vraie bénévole, une nounou, comme ta tutrice malheureusement non rémunérée pour tous tes efforts.
Huit ans, voulait dire la découverte de leurs Alters encore fraîche, et donc l'utilisation immodérée de leurs dons. S'occuper d'enfants d'autrui sans être payé, quel calvaire, et tu le faisais quand même.
Les frissons addictifs, te faisaient désirer. En ce cas laissait ton portable tinter sous tes iris, sachant ce qu'il s'y poursuivrait. Toutefois le reste de la population fit son apparition tapageusement, te démembrant de ta transe qui n'avait duré que quelques secondes.
" Purée. " Tu as pensé, partant aux toilettes en but de rappeler le supplice qui t'attendait.
L'utilisation de ton téléphone n'était présente, que pour soulager tes fragiles oreilles aussitôt, il devait être rangé.Cependant il y avait exception qui tout compte fait n'en était pas une. Changeant de foyer comme de chaussette, tu téléphonais irritée.
" Allô ? " A salué, la grosse voix. " Oui ! Bon, je vais où maintenant ? " Tu as presque hurlé. Ce n'était pas le fait de changer de famille qui t'importunais un tel point, plutôt le fait qu'il ait coupé ton doux moment.
" Du calme, ma chérie, je v- " " Appel moi encore comme ça, et je te crame aussi fort qu'un personnage d'animé. " Tu l'as interrompu sérieuse sur tes dires.
" Bien, bien. Rendez-vous, à dix huit heures trente...Te connaissant tu seras là à dix-neuves heures ou vingt heures." Il a soufflé, provoquant un " Tch. " de ta part.
" Tu viens comme d'habitude, à l'accueil, avant tu prends tes affaires et- " " Ce n'est pas la première fois, que je déménage, tu déranges un peu beaucoup là, as-tu quelque chose d'important à dire ? " Tu l'as de nouveau entrecoupé.
" Ah lala, mais quelle grincheuse enfant. Non, je n'ai rien d'autre à dire. Franchement, je m'occupe de tes affaires depuis longtemps tu pou- Bip ! " Tu raccrochas roulant des yeux.
L'écouter récriminer de ton « manque de considération » ne faciliterais la charge de faire tes bagages.
Rentrer plus tard n'aurait décalé en rien tes prochaines actions, néanmoins, à quoi bon, rester si tu étais apte à partir ?
" J'ai mangé, c'est l'essentiel ." Tu t'es étirée.
Tu passais devant les gens de ta classe te saluant par la vitre, d'où tu répondais un signe de tête direction la salle des profs. À peine la porte toquée, tu reçus un message :
- Ne sois pas aussi désagréable, on ne raccroche pas au nez, ma chérie. ❤️
La porte s'ouvrait et éberluée tu gueulas : " Espèce de c*nnard ! "
" Excuse-moi, petite ?! " S'est choqué le personnage que tu redoutais croiser, malgré son agréable aura bien que trop énergique.
" Present mic ! " Tu as soupiré exaspérée d'avance rangeant ton portable, le connaissant par sa réputation de crieur. " Savez-vous, si Aizawa est ici ? " " BIEN SÛR !!! MON POTE AIZAWA MON POTE AMÈNE TOI MON POTE !! " Il a hurlé, à tout l'établissement.
VOUS LISEZ
𝒴𝑜𝓊𝓇 𝓈𝓂𝒾𝓁𝑒 [ Izuku x reader ]
FanficEN PAUSE À force, d'être fausse la conscience humaine s'appropriait cela en tant que vérité. Elle ne savait même pas qu'il était une contrefaçon... 𝔖𝔬𝔫 𝔰𝔬𝔲𝔯𝔦𝔯𝔢. La joie n'étant en son cœur, sa figure une toile inexpressive. Si vous le dem...