Chapitre 11

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Tu ne les reconnaissais pas. Soit par la fatigue cérébrale qui t'animait tu ne pouvais te concentrer ou alors juste qu'elles t'étaient inconnus.

Mais tu votais pour la première option entendant ce qu'ils se dirent un moment chers d'attention :

" Combien lui a-t-on injecté cette fois-ci ? " S'est exprimée une jeune voix." Je veux savoir."

Une voix chaudement inconfortable.

Comme si, que celle-ci était touchée par ton incapacité à ingurgiter l'oxygène autour de vous.
Comme si, que celle-ci pouvait-être affectée par ton image à demi-consciente sur cette table froide.
Comme si, que celle-ci s'attendait à des mots... Rassurants ?

Pourtant n'était-ce pas elle qui t'avait ceinturé les poignets à cette table ? N'était-ce pas elle et ses compagnons qui prélevaient ce qu'avait ton corps de plus précieux, et vital

Ton sang.

Cette pensée te fit bouillonner.
Tes membres endoloris tes sourcils fatigués, inexprimés ta rancœur dévoilant sa méprise par cette chaleur ardente en ta poitrine venant serrer tes poings.

Elle t'était horripilante.

" Elle reprend conscience ? " A « dit » un timbre qui t'eut fait vomir intérieurement. Cela ressemblait à de la panique ? De l'inquiétude ? De l'espoir ?

Non. Impossible.

Hélas, là une chose similaire retournait tes tripes écœurées parce que sa demande t'eut soulevée. Tu ne devais l'oublier. Ta position.

Tu ne pouvais pas jouer l'assurer comme en cellule.

Tu ne pouvais te permettre d'être découverte, en tant qu'actrice hollywoodienne de qualité où tu finirais réellement inconsciente.

Car pour résumer,

Ton Alter avait fugué temporairement t'abandonnant comme une enfant de deux ans, par une substance dont tu ne te souvenais t'être faite injecter.

Deuxièmement, sans l'aide de ton cerveau réduit à de la purée de carottes par leurs produits paralysant, tu égalisais la résistance d'une brindille face à un ouragan.

Troisièmement, ces deux c*nnards que tu nommais : chiens d'la casse, étaient plus fort que toi, au temps où ton Alter faisait ses courses.

Tu t'es alors automatiquement stoppée.

Un silence de cimetière passait lorsqu'un grain grave fit son apparition :

" Non. Elle ne peut pas se réveiller plus de trente milligrammes lui ont été administrés le jour de son enlèvement et dix, en plus quand on l'a ramené ici car- " Il t'a mis une pichenette sur le front, un sourire ridicule.

" Cette imbécile a cru pouvoir nous duper. "

Tes yeux closent furent de plus grands fléaux même si tu saurais les identifier au futur, tu souhaitais les dévisager.

" Quarante milligrammes de Rohypnol est plus que dangereux pour une jeune fille de son âge. Déjà le dispositif à retardement mis lors de son sommeil défavorable à son Alter et maintenant ça... À tout moment son co- " Elle a dévoilé la cause de la disparition de ton pouvoir.

" Ferme-là ! " S'est exprimé un son suscitant une vibration à ton oreille gauche interrompant la femme dans sa tirade que tu ne souhaitais qu'étouffer.

Que voulait-elle dire pas « dangereux pour une jeune fille de son âge » ? En avait-elle quelque chose à faire de toi ?

La question était vite répondue.

𝒴𝑜𝓊𝓇 𝓈𝓂𝒾𝓁𝑒                                          [ Izuku x reader ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant