14- Pandora's Box - Part 2

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(La Boîte de Pandore- Partie 2)

Wei Ying leva les yeux, parcourant des hectares de peau lisse et blanche. Lan Zhan était encore à moitié dur et ses cheveux étaient étalés derrière lui comme un ange.

Se levant, il se blottit aux côtés de Lan Zhan et tira sur son ruban frontal.

- On garde ou on enlève ?

Lan Zhan ne bougea pas la tête, mais il fit mouvoir ses mirettes sur côté pour le regarder.

- On enlève, dit-il, sa voix semblant toujours tendue.

Wei Ying défit le nœud et le libéra. Les yeux de Lan Zhan le suivirent alors qu'il se balançait dans les airs.

Le jetant par-dessus son épaule, Wei Ying traça les lèvres de Wangji de son pouce.

- Comment se fait-il qu'elles soient déjà enflées ? interrogea-t-il. Je ne les ai même pas encore embrassées.

Il se pencha pour remédier à cela, laissant son corps retomber complètement contre Lan Wangji, qui l'attira plus près et lui rendit son baiser avec ferveur. Commençant lentement et profondément, finissant avec leurs deux corps haletant en tirant sur les vêtements de Wei Ying.

Il se leva pour se débarrasser d'eux puis rejoignit Lan Zhan sur le lit, frottant son érection contre la hanche de Wangji.

Ce dernier gémit et les fit rouler, pressant Wei Ying contre le matelas et sa langue dans la bouche du brun.

Wei Ying serra fort les bras de Lan Zhan, ses épaules, les globes fermes de ses fesses; partout où il pouvait atteindre. Pour tout ce qu'il toucha, il s'assura de dire à Lan Zhan à quel point il l'aimait.

Lorsque Lan Zhan se déplaça plus bas, emmenant sa langue dans un voyage le long de son corps, Wei Ying ne pouvait plus l'atteindre, mais sa bouche lui déclarait à quel point il se sentait bien.

La main qui caressa son sexe finit par le faire taire alors qu'il se mordait la lèvre pour étouffer un gémissement. Mon Dieu, qu"il était dur !

- Veux-tu savoir ce qu'il y avait d'autre dans la boîte, Wei Ying ?

Il pose vraiment la question maintenant ?

- Euh, bien sûr, Lan Zhan. Dis-moi. Vite.

Lan Zhan ne répondit pas et le noiraud leva la tête pour voir Lan Zhan secouer la sienne.

- Pourquoi pas ? questionna-t-il. Je pensais que c'était ce que tu voulais.

- Je ne peux pas te le dire. Je dois te montrer.

Le soulagement envahit l'esprit de Wei Ying.

- Très bien. Oui, montre-moi alors.

Lan Zhan se pencha et prit la tête de la verge de Wei Ying dans sa bouche. Wei Ying remercia silencieusement les cieux en se relaxant alors que Lan Zhan trouvait un rythme.

Il avait cessé de remarquer quoi que ce soit d'autre que la belle chaleur et le frottement humide des lèvres de Lan Zhan, alors il permit joyeusement à sa jambe de se détendre sur l'épaule de l'autre homme lorsqu'il le tripotait.

Finalement, le doigt lisse de Lan Zhan poursuivit ses tripotements ailleurs, se glissant en lui durant un bref moment dans les soins prodigués par sa bouche.

- Ahh... euhgghhgh... Lan Zhan ! cria Wei Ying. Non !

Lan Zhan laisse son pénis sans surveillance pour revenir à ses lèvres, le faisant taire avec un autre baiser profond. Il fit correspondre les coups de son doigt aux coups de sa langue jusqu'à ce que Wei Ying gémisse et se détende autour de lui.

De son côté, Wei Ying était perdu. Il n'avait jamais imaginé cela, mais ce qui avait été douloureux au début était rapidement devenu chaleureux et dangereusement érotique. C'était une tension sexuelle d'une manière qu'il n'avait jamais ressentie auparavant.

- Ça va ? demanda Lan Zhan, levant la tête pour rencontrer le regard de Wei Ying.

Wei Ying se sentait gêné d'avoir Lan Zhan en lui, mais pas gêné au point d'arrêter.

- C'est … chaud, lui dit-il. C'était ce qu'il y avait dans la boîte ?

Lan Zhan hocha la tête et ajouta un deuxième doigt à côté du premier.

- Ohh.... Wei Ying déglutit difficilement et resserra sa prise sur les épaules de Lan Zhan. Lan Zhan, je...

Il ferma les yeux contre les sensations se développant dans le bas de son corps alors que des vagues de plaisir commençaient à rayonner à travers lui à chaque poussée lente des doigts de Lan Zhan.

- Lan Zhan, murmura-t-il. S'il te plaît...

Il se retrouva face contre terre sur le matelas avant d'avoir pu terminer son plaidoyer. Le souffle de Lan Zhan était chaud sur son cou, et il l'embrassait là alors que ses doigts trouvaient les boutons de chair de Wei Ying. Ils traçaient des cercles chauds autour d'eux.

Son poids enfonçait le membre dur de Wei Ying dans le tissu doux sous leurs anatomis, et même sans ses doigts à l'intérieur, cette gelée en cadeau de mariage réchauffait ses entrailles et le faisait se tortiller.

Il en voulait plus.

- Lan Zhan, chéri, s'il te plaît, dit-il. Je le veux. Ne me fais pas attendre.

Lan Zhan s'empara de l'une de ses hanches et le pénétra avec le sommet uniquement.

Wei Ying pensait qu'il pourrait en pleurer.

- Ahh... Lan Zhan ! Putain, c'est tellement bon. S'il te plaît, mon amour, plus. S'il te plaît.

Il savait qu'il marmonnait encore lorsque Lan Zhan se glissa entièrement et s'assit, les glandes génitales profondes, mais il n'avait aucune idée de ce qu'il disait. Il ne pouvait tout simplement pas s'arrêter. Le sentiment était trop bon, trop intense, trop... parfait. Il sentit le pied de Lan Zhan glisser le long de son mollet, et il tourna la tête pour capturer brièvement ses lèvres. Il n'avait jamais voulu quelqu'un de cette manière.

Ses mots devinrent des gémissements alors que Lan Zhan s'enfonçait en lui, le possédant et le poussant à jouir contre le matelas.

Lan Zhan atterrit brutalement sur ses mains lorsque Wei Ying vint. Il le suivit dans sa chut, poussant toujours sans réfléchir et remplissant Wei Ying de son sperme.

Il fallut longtemps avant qu'ils ne se séparent et que leur respiration redevienne normale.

Lorsque Wei Ying trouva la force de tourner la tête et de scruter Lan Zhan, il vit que le vin semblait s'être dissipé et que son regard était clair. Il souriait encore, cependant.

- Tu n'es plus jamais autorisé à boire, Lan Zhan.

Il tenta de garder un regard "sévère" mais ne parvint pas.

- Mais tu as un beau sourire.

Lan Zhan gloussa.

- Je suis juste heureux qu'il y ait en fin de compte un moyen de te faire taire.

- Menteur, rit Wei Ying. Je devrais te frapper pour ça. Je le ferai quand je trouverai la force.

















WriterGirlAR

WangXian: The Arrangement [FR]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant