Tel une vague d'océan,
Qui se perd dans l'air du temps,
Qui sombre au fil du vent,
Et qui vit son dernier printemps.
Il avance vers une nouvelle inconnue,
Qui par sa beauté irréprochable,
L'attend sans craindre sa vue.
Non sans méfiance, il regarde ces silhouettes différentes,
Semblables à son apparence mais pourtant, bien plus grandes.
Le cocon de l'insouciance,
Qui par son confort, le protégeait,
Se brise dans la conscience,
Où le danger apparaît.
Déjà ses jouets son remplacés,
Envolé, les BD et les contes de fées,
Désormais, ce sera factures et potager.
Les questions fusent, dans son esprit si fragile.
Les obstacles surgissent à ses pieds pourtant dociles.
Mais néanmoins, il comprend ce qui l'attend...
Le monde de l'enfance se métamorphose en un monde responsable de la société,
Il en connaît la difficulté mais s'il en a la volonté, il pourra la supporter.
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Les mots sans raison
PoetryLa raison n'est pas telle qu'elle le voudrait car les mots ne peuvent y accéder. La raison ignore les mots mais les mots sont sans raison. PS : retrouvez mon recueil aussi sur Facebook https://www.facebook.com/lesmotsansraison/
