L'insouciance des rêves l'inconscience de la réalité

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Sous le ciel sombre, tu me regardes.
Allez viens, suis-moi dans l'obscurité, avant que le soleil ardent ne prenne vie.

Je me languie dans ce poison, dans cet océan aux frontières du Paradis. Là où les promesses vides s'effaceront et, où mes pensées grandiront.

Confiance trahie et cœur brisé, il n'y a pas d'espoir pour ceux qui sont fatigués. Il n'y a pas de liberté sans combat.

Les cicatrices marquant mon corps sont faits d'or et d'argent. Et mon sang est un fleuve de pierres précieuses.

Au frontières du Paradis, je te rejoins lentement.

Dans mon sommeil insoumis tu me retiens tendrement.

Puis je reviens, dans le réel, je reviens. Et je réalise que la seule frontière...
est celle de cette réalité impossible !

Texte inspiré de paroles de musiques.

Les mots sans raisonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant