Elle entoure, elle enrobe. Elle éblouit, elle enfume. Elle s'enfonce provoquant une couche presque éphémère. La brume n'enterre pas l'âme détruite ni les visages meurtris. Elle ne fait qu'embuer les blessures pour laisser un temps sois peu, l'illusion du monde tel qu'on le voyait avec nos yeux d'enfant.
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Les mots sans raison
PuisiLa raison n'est pas telle qu'elle le voudrait car les mots ne peuvent y accéder. La raison ignore les mots mais les mots sont sans raison. PS : retrouvez mon recueil aussi sur Facebook https://www.facebook.com/lesmotsansraison/