Son visage la hantait. Constamment, durant les nuits d'hiver, elle le revoyait, souriant, une main tendue vers elle. Elle ne pouvait la serrer, son regard était son seul moyen de contact. Pourtant, elle le pensait si réel qu'elle pouvait sentir sa présence auprès d'elle. Une présence évanouie au moindre battement de cils que lui soumet le réveil ! Seul les images restent intactes.
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Les mots sans raison
PoetryLa raison n'est pas telle qu'elle le voudrait car les mots ne peuvent y accéder. La raison ignore les mots mais les mots sont sans raison. PS : retrouvez mon recueil aussi sur Facebook https://www.facebook.com/lesmotsansraison/