Aime moi je te fuis (Hawks x reader ) RÉÉCRITURE

-Chapitre 5-

Quelques mois se sont écoulés on est maintenant en décembre. Le froid hivernal a pris place et la neige commence à tomber il y a peu. Nous avons eu les championnats. Je suis arrivée troisième j'en suis plutôt fière même si il est vrai que ce n'est pas la première place. Un peu avant les championnats on a choisi nos nom de hero Rumi c'est fait appeler Mirko ,Keigo :Hawks et moi j'ai choisi Kesshō qui veux dire cristaux. En arrivant au lycée, complètement courbaturée par les cours interminables d'héroïsme, je rejoins mon casier où se trouve déjà mon ami lapine.

Rumi: AH ! Pour une fois tu n'es pas en retard ! Je sourie en ouvrant mon casier pour y ranger mes affaire.
:que veux tu ! Je me suis décidé à prendre le bus. Elle me sourit en s'adossant à son casier. Depuis quelques mois, je suis devenue inséparable avec Rumi.
Rumi: et voilà le dernier. Je me retourne et tombe sur le piaf. Lui aussi reste avec nous toujours aussi arrogant et toujours aussi sur de lui.
Keigo: bonjour princesse. Je lève les yeux au ciel en continuant de me débarrasser de mes affaires. Il ouvre son casier, et fait de même.
Rumi: eh ! Je sais que tu es fou de Maya mais je suis là aussi. Râle Rumi en se relevant de son casier, je ferme le miens et me tourne vers elle.
Keigo: oh Rumi ! Ma belle et forte Rumi comment aller vous ma chère ! Il s'avance vers elle, de manière dramatique, comme si il jouait une scène de Roméo et Juliette. je peux vous dire que c'est trois mois sont passés vite avec eux deux on a pas réellement le temps de s'ennuyer.
Rumi: je me demandais !
Keigo: oula attention princesse, Rumi a réfléchi !
Il se met derrière moi, et pose ses deux mains sur mes épaules, comme pour m'utiliser comme bouclier.
Rumi: ça vous que l'on fête Noël ensemble ?
:pourquoi pas !
Rumi: parfait !!
Keigo:et mon avis ?
:qu'importe où je vais tu viens alors la question ne se pose pas. Il fait une mine boudeuse que nous ignorons pour rejoindre notre classe.

***

Nous sommes le 23 décembre. Je suis allongé dans mon lit en train de regarder les news sur les héros. Vers 18h30 Rumi m'envoie un message:
Rumi: ta bien acheter nos cadeaux pour demain hein ?

Merde, merde j'ai complètement oublié, je saute de mon lit, m'habille rapidement, attrape mon sac et mes clés avant de partir en courant pour rejoindre le centre-ville dans l'espoir de trouver des cadeaux de dernière minute. J'arrive pas à croire que j'ai pu oublier ça. Qu'est-ce qui tourne par round chez moi ! Vers 19 heures j'arrive enfin dans le centre-ville. Par chance à cette période de l'année. Les magasins restent ouverts tard. J'ai rapidement envoyé un message à mon oncle pour le prévenir que je sortais puis j'ai commencé mes recherches de cadeaux. du coin de l'œil, je remarque une boutique avec un sac. je m'avance curieuse et parfait. C'est pile le sac que Rumi voulais ça fait deux mois que je l'entends me parler de ce fameux sac qui d'après elle,il est à la fois magnifique que pratique. Sans attendre je rentre dans la boutique salut poliment la vendeuse attrape le sac et continue de chercher un cadeaupour Keigo. je me rappelle d'une discussion qu'on a eu ou il me disait vouloir se trouver une veste confortable et chaude pour quand il vole mais aussi qu'il aimerait s'acheter un bijou. ne voyant pas de veste dans la boutique, je me tourne donc vers la deuxième option. La vendeuse arrive, je lui montre ce qui m'intéresse et m'encaisse.

Vendeuse: vous voulez-vous je l'es emballe
:oui, séparément si c'est possible

Je l'observe les emballer soyeuse ment avant de les mettre dans un sac commun et de me le rendre. Je lui souris poliment avant de quitter la boutique en sortant. Je sentis mon téléphone vibrer. Je le sors de ma veste et est la surprise de voir que quelqu'un m'appelle.

:bonsoir le Piaf
Keigo:bonsoir Todoroki que faite vous dehors à une heure pareille ? Je fonce les sourcils. Comment il sait ?
:attends comment tu sais que- Je me crispe complètement en sentant une main se posait sur mon épaule. Je me retourne dans un réflexe frappe la personne au visage. je culpabilise en remarquant qu'il ne s'agit que du pigeon, il se tient le nez que j'ai sûrement dû frapper. Merde je suis désoler ! Mais aussi qu'elle idée de me terroriser comme ça ! Il glousse avant de reprendre ses esprits.
Keigo: note à moi même ne plus te prendre par surprise. Sinon...Tu aurais du voir ta tronche ! Il se plonge dans un profond fou rire qui m'agace plus qu'autre choses je tire la tronche en croisant les bras.
:bon allez c'est bon. Je commence à partir mais il me rattrape par le poignet
Keigo :allez c'est bon arrête. Il me retourne face à lui, je le regarde droit dans les yeux et il sourit comme le cretin qu'il est puis recommencer à ce payer ma poire Je lui lance un regard noir. Ok ok désolé j'arrête vraiment cette fois. Il tente de reprendre son calme, mais je vois bien que c'est peine perdue.
:mais oui.. Bon à plus, je dois rentrer
Keigo:je peux te raccompagner j'ai rien à faire en plus.
:alors bou-

A peine j'eux le temps de ma phrase que je le senti me porter et sauter. Attends dit moi que  c'est pas se que je crois... En une fraction de second je me retrouve dans les airs, je suis terrifiée.

: MAIS t'es malade!  Je veux descendre !lâche moii !
Keigo:vos désir son des ordre mll Todoroki
Je regrette instantanément de lui avoir demandé ça, il me lâche comme j'ai demandé, mais dans le vide, je commence une chute en hurlant de peur avant qui se décide de revenir m' attraper je lui lance des regards rempli de mépris et de haine furieuse de son petit jeu.
:mais t'es malade ! Qu'est-ce qui t'es passé par la tête !!
Keigo:tu m'avais demandé de te lâ- Je lui signe de se taire.
:ferme la et ramènes moi chez moi !

il ricane bêtement, tout en continuant son chemin en vol. Je dois avouer qu'au début. J'avais peur, mais au moment où je relève la tête, je pue admirer la vue aérienne de la ville.

Nous sommes le jour J après une longue douche chaude pour me motiver.J'enfile une robe simple que ma cousine m'a conseillé. Ne sachant pas quoi faire de mes cheveux, je décide simplement de les attachés en chignon bas. Après tout ça me changera d'habitude, quelques minutes plus tard, me voilà, devant la maison de ma meilleure amie.