-Chapitre 9-

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Pdv Keigo

Les mains dans les poche je marche l'esprit pensif. Le froid hivernal vient chatouiller mes joues que je tente temps bien que mal de cacher dans mon écharpe rouge, son odeur de pomme vient s'immerger dans mes narine. Que j'aime cette odeur, cette même odeur qui a hanté mes draps même après les avoir lavé c'est comme si l'univers voulait me jouer un tour en m'obligeant à rembarrer mes désir et sentiment même chez moi.

?:s'il vous plaît... je trouve plus mes parents. Je m'arrête subitement en sentant une main agripper mon pantalon. Un enfant a la morve coulante de son nez et au yeux inonder de larmes. Je me penche vers lui et pose une main sur son épaule.
:je vais t'aider à retrouver tes parents. Je le prends dans les bras et nous marchons là où l'enfant se rappelle les avoir vu pour la dernière fois et j'arrive à temps puisque les deux parents sont la panique à demander de l'aide à un héros de la ville, je lâche l'enfant qui court dans les bras de ses parents.

Un semblant de sourire apparaît sur les lèvre et je me déteste de ressentir de la jalousie... Est ce que si mes parents m'avaient perdu en ville, se serait il inquiété ? Je me sors de mes pensées en sentant un flocon tomber sur mon nez, je relève la tête et il semblerait que Noël est utilisé un peu de sa magie aujourd'hui pour nous faire tomber la neige en ville. Je devrais vite rentrer même si l'envie me manque. Aussi loin que je me souviennes les soirées de Noël on toujours été synonyme de solitude avant Noël dernier où j ai eut la chance de célébrer avec mes deux amis. Aujourd'hui j'aurais aimé le fêter de nouveau avec les filles mais Rumi est parti pour les vacances pour les fêter avec sa famille je ne sais où et Todoroki doit sûrement le fêter avec sa famille. En arrivant devant l'immeuble gigantesque devant moi me donne le vertige rien qu'en levant la tête. J'ouvre la porte d'entrée m'attendant à ne voir que l'obscurité de mon appartement que les services sociaux m'ont gentiment payer pour mes études. Je suis surpris de voir de la lumière et une douce odeur qui provient de la cuisine. Je referme la porte, m'arrache une aile au cas où et m'avance l'air méfiant jusqu'à la cuisine mais je lâche ma plume en voyant des cheveux brun qui tombe parfaitement le long d'un dos féminin muscler par des heure de torture, d'entraînement pour devenir la crème de la crème.

:Todoroki ? La belle brune se retourne l'air surprise de me voir rentrer ce qui est ironique. Amaya:Qu'est-ce que tu fais là ! Je croise les bras et m'appuie contre l'encadrement de la porte. Rumi m'a dit que tu ne rentrais pas avant au moins 22h ! Un sourire satisfait s'affiche sur mon visage.
: tu m'attendais princesse ? Elle fronce les sourcils par sa grimace.
Amaya: sache que j'ai essayé d'être gentille et de te préparer un bon repas de Noël. Je me crispe surpris.
:pourquoi faire ? Tu ne le célèbre pas avec ta famille ? Elle se retourne pour terminer le repas qu'elle prépare.
Amaya: Noël n'a jamais été une fête chez nous... généralement on mange ensemble puis mon oncle doit partir donc tout le monde part. Alors on les fête vite pour que Shoto puisse au moins ouvrir ses cadeaux. Sa voix douce a une pointe de tristesse. La vie chez les Todoroki n'est pas si belle et joyeuse qu'il y paraît..
:et donc pourquoi être venu ici ?
Amaya: tu es seule alors je me suis dit que fêter Noël avec quelqu'un pourrait te faire du bien. Elle se retourne avec dans les mains deux plats. Bon on se le fait se repas ! Je sourie attendrie, c'est étrange cette sensation que quelqu'un se préoccupe vraiment de nous.

Amaya: nan mais sérieusement c'est ridicule ! Je glousse, après le repas Amaya nous a mis des films de Noël. C'est pas possible je vais leurs envoyer un vrai scénario. Je la regarde curieux.
:ah oui parce que tu pense faire mieux ?
Amaya: je pense faire un truc réaliste. Elle se tourne vers moi et je ne peux m'empêcher de sourire.
:je suis curieux de voir ça. Mademoiselle Todoroki peut elle vraiment faire mieux que de vrai scénariste ? Elle sourit avant d'affiche une mine soucieuse. Qu'est ce qu'il y'a ?
Amaya: pourquoi tu ne m'appelles jamais par mon prénom ? Je la regarde surpris.
:eh bien...parce que j'ai trop de respect pour toi princesse. Je lui fais un clin d'œil joueur qui la fait doucement sourire, qui disparaît vite, je sens que elle a encore une question. Aller pose moi ta question. Elle écarquille les yeux surprise que j'ai compris que elle voulais encore me poser une question.
Amaya: où sont tes parents ? Je me redresse, je dois avouer que je m'attendais à toute sorte de questions mais pas ça. Elle doit comprendre mon mal l'aise et se reprend vite. Enfin non laisse tomber.
:mes parents étaient des criminels. Je ne sais pas trop dans quoi ils étaient mais je sais que j'étais un poids pour eux...J'ai grandi dans une cabane jusqu'à mes 10ans où les super héros m'ont sauvé après ça des assistante sociale m'ont fait passer de foyer en foyer avant que je dise stop et que je sois vu par un professionnel qui m'a fait rentrer à U.A. Et grâce à ça j'ai pus avoir mon propre appartement. Je lui raconte la vérité après tout on est amis alors c'est normale que je le dévoile à elle.
Amaya:Keigo...Je suis vraiment désoler.
:se n'est rien. On choisit pas d'où on vient.
Amaya: je confirme... Je me tourne vers elle intriguer.
:à toi de me parler de ta famille. Tes parents ? Ils sont comment.
Amaya:eh bien...je n'en ai plus. Je me redresse et me tourne complètement face à elle pour l'écouter. Mes parents se sont rencontrés au lycée et m'ont eux à la fin de leurs dernières années. Mon père je ne le connais pas. Je sais même pas si il me connais. Elle ricane en regardant ses pieds. Ma mère elle était...belle,gentille, forte et...Incroyable ! Elle était une super héroïne, la plus jeune des super héroïne reconnu dans le monde ! Elle faisait la fierté de sa famille, quand je suis arrivé au monde se n'était que elle et moi. Nous deux contre le monde.
:Elle est ou maintenant ?
Amaya: elle est morte...Quand j'avais 11ans, mon cousin et meilleur ami, Toya et moi jouions dans notre ancienne maison de vacances et un jour la maison pris feu. Je n'arrive même pas à me souvenir comment... ma mère est venu nous sauver mais j'avais laissé tomber une peluche sur j'aimais beaucoup à cette époque et ma mère parti la récupérer mais à peine elle mit un pied dedans que la maison s'est effondré sur elle, sous mes yeux. Elle joue nerveusement avec ses mains et je peux la comprendre, ça doit être traumatisant de voir sa mère mourir sous ses yeux. Après ça ma famille m'a renié car après tout je ne les ressemblais pas et m'ont mis la mort de ma mère sur mon dos c'est là que j'ai commencé les crise d'angoisse et les cauchemars. Je comprends enfin ce qui c'est passé il y'a 1ans.
:Et. J'avance ma main vers son cou ou je soulève ses cheveux pour observer des cicatrices sur son cou que j'ai remarqué en cours de sport il y'a quelque jour. Elles viennent de la ? Elle me regarde surprise, surprise que j'ai remarqué sûrement,
Amaya: oui... Quand le feu c'est déclarer mes cheveux on brûler en brûlant mon cou par la même occasion. J'effleure délicatement ces cicatrices et souris, amusés en la voyant frissonner. Je devrais rentrer. Je fronce les sourcils. Je n'es le temps de ne rien dire que elle se lève et attrape nos assiettes vide pour aller les nettoyer, je la suis et me met à coter d'elle quand elle commence à nettoyer nos plat.
:tu sais que tu peux rester.
Amaya: tu n'as toujours pas de deuxième chambre et il est hors de question que tu dormes sur le canapé. Elle lave la dernière assiette sans m'observer.
: Ça ne serait pas la première fois que l'on dort ensemble. Je croise les bras amuser de la taquiner. Elle se tourne vers moi et ses yeux turquoise me zieutes et à peine il m'observe que je sens mon cœur s'emballer et mon corps réagir, mon dieux que j'ai envie de l'embrasser ! Je suis sûr que ses lèvre on un goût de fruit. Elle continue de me regarder et je ne pense pas pouvoir continuer longtemps se jeux d'observation. Comme une aimant j'en cadre son visage de mes mains et l'embrasse avec fougue, j'ai peur qu'elle me repousse ou bien me hurle dessus mais non elle répond étrangement à mon baiser. Ses lèvre son comme je l'imaginais, elle ont un léger goût de pomme comme son parfum et de chocolat sûrement celui qu'elle a bu devant le films. Mes mains lâche son visage pour se balader jusqu'à ses hanches. Elle tire sur mon pull pour me tirer vers elle, je sourie encore plus amuser. Le baiser devient de plus en plus endiablée jusqu'à que l'ont se sépare à bout de souffle. Ses lèvre son gonfler et encore humide et ses yeux semble aussi surpris que moi de ce qui vient de se passer.

Amaya: je- Elle se recule. Je dois y aller. Elle me contourne et part, je ne la retiens pas, encore surpris de ce qui vient d'arriver. Je pose de doigts sur mes lèvre et j'ai encore la sensation que elle est là à m'embrasser mais non elle est bien parti ne laissant qu'un doux parfum de pomme dans l'air.

**

Pdv Amaya

Je sors de ma salle de classe. Le soleil est déjà en train de se coucher. J'avoue avoir un peu traîné à terminer un devoir. Je me disais donc de vite rejoindre mon casier pour rentrer en arrivant mon casier, ce sont deux ailes rouges qui m'accueille. Je devine donc rapidement que le Piaf est là.

Keigo:holà Todoroki
:pousse toi le KFC sur pattes. Je le regarde amuser en le poussant légèrement à peine, je pose la main sur mon casier pour l'ouvrir que je me retrouve plaqué contre celui-ci. Keigo a quoi tu- Je n'ai à peine le temps de terminer ma phrase que il plaque à ses lèvres contre les miennes. Mes mains se loge dans ses cheveux appuyant légèrement pour le force à approfondir se baiser comme celui de Noël. Mon cœur s'emballe exactement comme la dernière fois que j'ai peur qu'il sorte de ma poitrine. Ses mains se balade sur mes hanche exactement comme la dernière fois mais cette fois elles sont plus baladeuse et me laisse une douce chaleur au bas de mon ventre. Il se sépare de moi à bout de souffle et ses prunelle jaune soleil se plante dans les miens, ses yeux sont enflammé. Il en veux plus et j'en veux plus !

??:AMAYAdebouuuut

Attends quoi ? Je papillonne des yeux et suis presque surprise de voir Rumi. C'était un rêve ? Pourtant j'aurais jurer que c'était réel !

:je-merde désoler
Keigo:ça va Todoroki. Il sourit amuser et je peux m'empêcher de sentir mes joue chauffer. J'attrape mes affaire honteuse et disparaît dans les toilettes des filles. Je mouille mon visage pour me remettre les idée en place, bordel de merde Amaya tu pense à quoi !! Depuis Noël ni moi ni Keigo n'avons parler de ce qui c'est passé chez lui pour autant aucune gêne ne c'est installé mais se rêve me confirme quelque chose que je ne voulais pas m'avouer,

Rumi:éh sunshine,ça va ? Elle rentre dans les toilettes et s'avance vers moi en posant une main rassurante sur mon épaule.
:euh je non oui non arrrrg je sais plus.
Rumi:raconte qu'est-ce qui ce passe. Je me pince les lèvres entrain de réfléchir mais je décide finalement de lui dire mais avant je m'assure que personne d'autre ne soit dans les toilettes.
:ok... je vais te le dire mais interdiction de se moquer !
Rumi: euh oui d'accord. Je prends une grande inspiration.
:j'ai fait un rêve ou j'embrassais fougueusement Keigo et... on vas dire que le rêve aurait pus aller plus loin si tu m'avais pas réveillé. Je parle vite pour m'en débarrasser. Hors silence avant qu'un sourire énorme s'affiche sur son visage.
Rumi: t'es amoureuse
:quoi non ! Peut-être...
Rumi: Maya est amoureuse, Maya est amoureuse. Elle sautille sur elle même en répétant la même choses AMAYA EST AMOUREUSE DE-
??:amoureuse de qui ? On se retourne surprise par le ton de voix grave qui vient de raisonner dans les toilettes. En voyant Keigo m'observer furieux, je me force à ne pas réagir comme il y'a quelque minute.
:je peux savoir ce que tu fou dans les toilettes des filles !
Keigo :change pas de sujet. T'es amoureuse de qui ? Pourquoi il est aussi furieux.
:personne c'est Rumi qui raconte de la merde,attends pourquoi je me justifie moi.
Keigo :ouais c'est ça. Il part agacé. Attends pourquoi il réagit comme ça l'enflure.
Rumi:euh je ,il était énervé ou c'est moi
:laisse tomber il est incompréhensible bref tu ne lui dit rien sinon je me ferai un bon repas de lapin hein.

Aime moi je te fuis (Hawks x reader ) RÉÉCRITURE Où les histoires vivent. Découvrez maintenant