Chapitre 18: "Mon retour à la colonie."

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Après m'être endormie à nouveau quelques heures à l'hôtel pour un sommeil plus réparateur que le précédent, je prends une douche pournprofiter un maximum de ce confort et de cette intimité avant de replonger dans la routine de la colonie et envisage de mettre un bandage autour de ma cheville cassée ainsi que de soigner mes nombreuses plaies. Mes cheveux sont encore humide, je viens de sortir de la salle d'eau. En fouillant dans mes affaires, je remarque que je n'avais plus de vêtements valables mis apart un short et le débardeur tout fin de la veille. Et encore, le bas est plein de trous.
Je l'enfile mais tout de même, je ne vais pas rester en chemisette pour voyager dans la frigide camionnette d'Argus? Je sors de ma chambre et frappe à la porte de celle des garçon. Percy m'ouvre et me souris joyeusement.

-Hey!

Il m'embrasse rapidement, tout sourire.

-Salut, dis, tu n'aurais pas un t-shirt à me prêter?

-Si, surment, entre.

Je m'exécute et en faisant mes premiers pas dans la pièce, je ne manque pas de voir Grover, affalé sur son lit, en train de ronfler comme une bête.
Je ris discrètement pour ne pas le réveiller en le voyant comme ça et me maudit de ne pas avoir de quoi le photographier avec moi. Percy m'apporte un t-shirt gris et je l'enfile sans plus attendre. Il est au moins trois fois trop grand pour moi, mais peut importe, j'inspire son odeur de l'océan en souriant.

-Merci cervelle d'amgue, je lui claque un rapide baiser sur le joue et retoure dans ma chambre pour me coiffer tandis qu'il reste figé là à sourire comme un idiot, ce qui me fait ricanner.

J'entame la coiffure mes cheveux humides et les attache en chignon décoiffé une fois secs, enfile mes basckets pleines de boue et retrouve une veste de sport que j'enfila au dessus du t-shirt. Je boucle enfin mon sac de fortune et retourne dans la chambre de Percy et Grover.
Celui-ci est enfin réveillé et tout alerte.

-Les mecs. Faut que je vous dise un truc, un truc de la plus haute importance, dit-il en prenant un air sérieux.

Je jette un regard interrogateur à Percy qui hausse les sourcils en secouant négativement la tête, signe qu'il ne sait pas dans quel délire il se lance.

-J'ai envie... De manger des croissants.

Je lui donna un coup de coude .

-Tu nous a fait peur imbécile!

Il rit de façon machiavélique en se levant, trottinant partout dans la chalbre d'un air stressé.

-Sérieux! Ça urge! dit le satyre en secouant les bras.

Je roule des yeux et sors de la chambre, suivie de Percy et Grover en quête de croissant pour satisfaire notre ami. Et sans vous mentir, mon estomac par la même occasion. On s'arrête alors pour déjeuner, sur la terrasse d'un café et commandons les fameurx et tant attendus croissants.
Grover croque dans le siens et nous observe, mâchant à grands mouvements de mâchoire.

-Dites, les gars, vous auriez pas un truc à me dire? Genre ce qu'il s'est passé hier à l'hôtel pendant que je vous attendais en bavant devant le buffet? dit-il en haussant les sourcils plusieurs fois d'affilée.

Percy sourit à pleines dents et prend ma main sous la table. Je me sens rougirde plus belle.

-Haha... dit Percy en m'embrassant la joue.

-Ouais j'ai compris, lache Grover en faisant un geste de la main, mec, prends bien soins d'elle.

Il lui fait un clin d'oeil aguicheur qui ne manque pas de m'amuser.

It seems that I am Legend Où les histoires vivent. Découvrez maintenant