Chapitre 5 : "on va se battre."

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Sieg : hey... n'aie pas peur. Ce n'est que moi.

(T/P) : la douceur tu connais ? Dis-je presque irritée.

Sieg : désolé... mais je me devais de te parler. Sérieusement.

(T/P) : en me plaquant au mur. C'est très sérieux dit donc on dirait presque que tu vas pas me parler.

Sieg : arrête de te plaindre et écoute moi.

Son ton était ferme et ça m'a littéralement coupé la parole.

Sieg : déjà, je voulais te voir.

(T/P) : hm

Sieg : ensuite, faut qu'on parle de ta proximité abusive avec tes petits copains là.

(T/P) : j'écoute tes revendications, par contre je te préviens Sieg. Je ne vais pas me plier à ce que tu vas me dire.

Sieg : je te suffis pas ? J'ai pour habitude de prôner l'indifférence (T/P). Mais eux la... je le vois dans leur yeux. Ils te veulent.

(T/P) : et ? Ou est le problème, je suis avec toi aux dernières nouvelles.

Sieg : je suis un homme. Et tu as vu que je finissais toujours par avoir ce que je voulais. Je suppose que c'est pareil pour Eren et Jean. N'est ce pas ? Me demande-t-il en relevant mon menton d'un doigt.

(T/P) : tu as des insécurité peut-être ?

Sieg : t'es vraiment un bébé hein.

(T/P) : mais tu adores ça Dis-je presque en me moquant.

Sieg : tu es irrésistible, ça en devient insupportable.

Je ne prête aucune attention à ses reproches, pour être honnête je m'en contre fiche.

J'ai toujours été proche avec mes amis si ce n'est très proche. Et ce n'est pas aujourd'hui ni même demain que ça changera pour quelqu'un.

Alors ses revendications à deux francs six sous, ça rentre dans une oreille, ça ressort par l'autre.

Il s'est rapidement jeté sur ma bouche et nous sommes resté à nous rouler des pelles pendant un certains temps.

...

Je sentais quelqu'un arriver...

Et j'ai eu raison d'avoir peur.

Jean : putain nan mais j'y crois pas y'a des hôtels pour ça !

J'ai décalé ma tête sur le coté et ai vu son visage presque déformé par le dégoût de voir nous voir ainsi.

Quand au blond face à moi, son regard est devenu sombre alors qu'il enfonçait sa tête dans mon cou faisant style qu'il n'avait rien entendu aux mots de mon meilleur ami.

Jean : quand je pense que j'étais venu voir si t'allais bien...

(T/P) : ouai t'inquiète ça va. Vas les rejoindre, j'arrive.

Jean : petit conseil, si vous comptez rester dans cette situation encore longtemps. Allez aux toilettes aux moins pour vous cachez des gens de la classe...

Il partit sur ses mots en ruminant et je me suis vite détachée de Sieg.

Il n'était toujours pas de bonne humeur mais à finis par mais laisser quand il m'a sentit le repousser.

Jean x Reader / Meilleurs Amis, Vraiment ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant